Histoire du centième singe [Vidéo]

Time : 4 mn 41 / [1]

 


 

Une experience troublante :

Une équipe de l’Université de Nottingham a utilisé les mots croisés d’un quotidien du soir. L’hypothèse était : si les champs morphiques existent, il doit être plus facile de faire les mots croisés de la veille, puisque des tas de gens les ont déjà faits.

 

On a donc demandé à la rédaction du quotidien de fournir à l’avance les mots croisés de la semaine, pour tester différents groupes, les uns avant parution, les autres après.

 

Les résultats des groupes de contrôle n’ont pas bougé, alors que sur les mots croisés de la veille, cela a varié de 20 %.

 


 

Extrait :

« Des expériences ont été menées en Angleterre à l’université de Nottingham. Je ne sais pas si vous pratiquez les mots croisés, mais la théorie dit qu’il devrait être plus facile de faire les mots croisés du Times demain qu’aujourd’hui. On a fait l’expérience à partir d’un quotidien londonien The Evening Standard qui n’est pas distribué à Nottingham. On a testé des personnes de Nottingham avant et après le jour de la parution, et un groupe de contrôle qui travaillait sur une autre grille. Il s’est avéré qu’il était plus facile pour le groupe testé de remplir la grille de l’Evening Standard le lendemain de sa parution sans qu’il y ait eu communication avec les gens qui avaient rempli cette grille la veille à Londres.

 

Je ne veux pas vous demander d’entreprendre des quantités d’expériences du même type, mais c’est quand même quelque chose qui a une certaine force. C’est pour cela que je voulais vous en parler. Ce sont parfois les exemples les plus simples qui sont les plus probants. J’espère qu’à l’avenir on pourra réaliser d’autres expériences qui conforteront encore nos théories. À l’heure actuelle une concurrence s’est engagée entre les équipes qui essaient de vérifier ces théories. Des milliers de dollars ont même été proposés, par une fondation en Californie, comme récompense aux étudiants qui parviendraient à construire des protocoles d’expérimentation de la résonance morphique.

 

Cette hypothèse nous amène à penser que l’héritage de nos ancêtres n’est pas seulement un matériau génétique mais aussi des champs morphiques, des champs de résonance. La transmission en est faite de manière non matérielle. Elle n’implique d’aucune façon le transfert de matière d’un point à un autre. Elle ne semble pas non plus impliquer de transfert d’énergie. Il semble bien plutôt s’agir d’un transfert d’informations dont l’héritage génétique ne représenterait qu’une partie. »

 

Pr Rupert Sheldrake

 


 

Source :

http://www.sheldrake.org/research

 

Vidéo :

[1] LE CENTIÈME SINGE (THE HUNDREDTH MONKEY) French – English – Moi HENOC / YouTube

 

Note :

Voir notamment les travaux de Ruppert Sheldrake sur les champs morphiques, le champ morphogénétique et la causalité formative.

 

 

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