Platon (-428/-427 av. J.-C. | -348/-347 av. J.-C. )
« Ce n’est pas de vivre selon la science qui procure le bonheur; ni même de réunir toutes les sciences à la fois, mais de posséder la seule science du bien et du mal. »
La science du bien et du mal – Platon
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sages paroles…
Ils avaient du discernement.
Merci pour ton commentaire Anne.
JE valide également et entièrement d’accord avec tes propos qui sont toujours aussi pertinents et JUSTES
Je te cite : « Pour moi on ne peut pas parler de bien ou de mal sans parler de religion. »,
…Idem pour moi.
Une fois de plus, entièrement d’accord avec tes propos.
Je valide.
Je pense qu’une petite lecture de Nietzsche s’impose par ici, comment discerne-t-on le Bien du Mal, je doute qu’il y ait, quelque part, une balance en mesure de nous éclairer quant à l’essence de nos actions. Admettons, par exemple, que pour sauver 10 individus je sois contraint d’en supprimer 1 ? Mon action est-elle mauvaise ou bonne ? Le nombre de vie sauvée compense-t-il celle ôtée ? Par ailleurs, doit-on accorder une valeur à la vie ou doit-on considérer cette dernière comme étant le malheureux résultat d’une réaction chimique quelconque au sein d’un univers trop vaste pour être appréhendé dans sa totalité, surtout par une espèce qui préfère à l’évidente complexité du monde une simplification illusoire amenant aux pires fanatismes et débordements en tout genre.
Merci pour votre commentaire qui vient enrichir cette publication.
C’est le but, mettre en exergue la faiblesse de la pensée humaine.