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Qu’est-ce qu’un trouble psychique ?
Dans cette vidéo, Virginie Lacombe, muséographe et chef de projet à la Cité des Sciences et de l’Industrie, définit les troubles psychiques. Il s’agit de pathologies diverses, aux causes elles aussi variées.
Les troubles psychiques regroupent en réalité plusieurs types de troubles. On peut ainsi citer les dépressions, les troubles obsessionnels compulsifs, la schizophrénie, les troubles bipolaires, les troubles du comportement alimentaire, les psychoses… Ces troubles variés ont des causes diverses, mais ont tous un impact sur la qualité de vie du patient. Les troubles psychiques peuvent être passagers ou chroniques, c’est-à-dire s’installer dans la durée.
Aujourd’hui grâce à l’imagerie médicale, il est possible de visualiser des dysfonctionnements dans le cerveau. Mais l’origine des troubles psychiques est souvent multiple : évènements de la vie, hérédité, environnement, infections… Placées dans un même environnement, certaines personnes développeront des troubles psychiques et d’autres non.
Une vidéo en lien avec l’exposition Mental Désordre présentée en 2016.
Source :
http://www.psycom.org/Troubles-psychiques
https://fr.wikipedia.org/wiki/Trouble_psychique
https://www.futura-sciences.com/sante/videos/quest-ce-quun-trouble-psychique-4653/
Vidéo :
[1] Qu’est-ce qu’un trouble psychique ? – Futura / Dailymotion
Aphadolie 
A reblogué ceci sur Die Erste Eslarner Zeitung – Aus und über Eslarn, sowie die bayerisch-tschechische Region!.
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On parle en effet désormais de trouble psychique ou psychiatrique et non de maladie psychiatrique parce que la maladie suppose une éthologie connue, une cause. Or, en l’état actuel de nos connaissances, aucune cause n’est reconnue aux troubles ou désordres psycho-pathologiques.
Pour les troubles psychotiques, comme la schizophrénie par exemple, jadis considérés comme psycho-génétiques, c’est à dire liés à la relation du sujet à son environnement, l’on a aujourd’hui de fortes présomptions en faveur d’une cause héréditaire, d’ordre chromosomique. Mais manque encore la preuve. C’est un axe de recherche.
Quant à l’imagerie, ce n’est pas parce qu’on peut lier des images à des troubles qu’il faut en conclure un rapport de cause à effet. Idem pour les dérèglements neuro-biologiques constatés dans tel ou tel trouble psychique : causes ou conséquences, nul ne peut le dire.
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Vous avez entièrement raison.
Si cela vous intéresse :
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Merci. Je vais voir ça de près. Je pense n’être pas très éloigné de votre pensée. J’ai lu le livre de Debré et Even sur les médicaments. Ils ont en partie raison selon moi sur les bienfaits et méfaits des psychotropes. Si les antidépresseurs usurpent leur dénomination, les antipsychotiques dits de seconde génération sont, eux, une réelle avancée dans le traitement de certaines psychoses, contrairement à ce que Debré et Even affirment. Quant au trouble bipolaire, le diagnostic est souvent porté par excès ce qui est encouragé d’une certaine façon par les labos qui vantent leurs produits thymorégulateurs. Enfin, il est exact que les éditions du DSM, référence américaine et donc mondiale en matière de troubles mentaux, sont toujours plus épaisses faisant naître des désordres nouveaux notamment comportementaux. Le deuil également est devenu un trouble dès lors qu’il excède 6 mois ; au-delà une prescription est préconisée voire obligatoire en Amérique (assurance, responsabilité du médecin…). C’est là une réaction à chaud mais je reviendrai vers vous après avoir pris connaissance de la vidéo envoyée.
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J’ai publié d’autres articles sur le DSM et la psychiatrie. Vous pouvez les retrouver en rentrant quelques jours mots clés dans la partie ‘recherche’
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