Les Frankenstein modernes : voyage au bout de l’horreur [Vidéos]

 

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Médicament bloquant la puberté, mastectomie, chirurgie vaginale et faux pénis, sans aucune chance de revenir en arrière, ne sont que quelques-unes des méthodes expérimentales radicales appliquées aux enfants. La folie doit cesser !

 

Imaginez-vous parent d’un gamin de cinq ans, qui innocemment, vous apprend un jour qu’il est une gamine. La réaction naturelle serait bien entendu de rire, pas de téléphoner à la clinique de permutation des sexes la plus proche. Vous ne savez pas comment votre petit garçon en est venu à croire pareille  chose ; c’est peut-être à cause de ce qu’il a entendu à la garderie ou d’une émission vue à la télévision. En tout cas, il insiste à se prétendre gamine.

 

Un jour, peut-être poussé par l’école locale, vous allez voir un toubib. Vous espérez que ce professionnel de santé saura vous donner, à vous et à votre enfant, de judicieux conseils pour dissiper sa confusion. Attendez-vous à être déçu. Or, votre médecin sera obligé par l’État et les diktats médicaux, de suivre les recommandations professionnelles dites « soins affirmatifs ». Ça sonne gentillet et inoffensif, pas vrai ? En fait, la meilleure définition serait « maltraitements diaboliques ».

 

 

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D’après l’approche des « soins affirmatifs », le médecin est tenu de suivre ce que lui dit l’enfant, pas l’inverse, car beaucoup de gens pensent que dans ce cas particulier, la relation entre le médecin et le patient marche mieux. En d’autres termes, si le garçonnet dit au médecin qu’il est une fille, le médecin doit se conformer à cette « réalité » sans tergiverser. Mais ce n’est que le début du voyage au bout de la folie.

 

En tant que parent, on vous conseillera d’appeler votre fils « ma fille », et même de lui laisser choisir un prénom féminin ainsi que des vêtements assortis. Les enseignants devront laisser votre fils utiliser les toilettes des filles quand il est à l’école. La question de la stigmatisation sociale et des brimades accompagnant ce changement de mode de vie, est rarement abordée. Les thérapeutes ne discuteront guère avec les parents des implications sociales de pareil changement mental et physique ; et d’ailleurs, beaucoup insisteront sur le fait que les changements sont « réversibles », pour le cas où l’enfant perdrait sa lubie un jour. Si seulement c’était vrai !

 

Faisons une pause un instant pour voir quelle devrait être la question la plus évidente, en particulier celle des professionnels de santé : « N’est-il pas horriblement naïf de conforter l’avis éphémère de l’enfant sur son sexe, alors qu’il croit toujours au Père Noël ? N’y a-t-il pas de fortes probabilités que l’enfant soit juste embrouillé et que ça lui passera ? De plus, pourquoi n’avions-nous jamais eu ouï-dire de cas pareils il y a seulement 10 ans, alors qu’aujourd’hui tout pousse à croire qu’il s’agit d’une épidémie ? » Au lieu d’une approche aussi évidente, ils vont satisfaire l’enfant avec sa toute nouvelle lubie. Dans la majorité des cas, l’enfant sera envoyé en accéléré au bricolage de sexe. C’est ici que commence l’histoire d’horreur.

 

L’une des parentes, Elaine, membre du groupe de défense des droits de la Coalition Kelsey, dont la fille a subi « des interventions médicales qui ont bouleversé sa vie, » a compris que le changement de sexe a été extrêmement préjudiciable pour la santé et le bien-être futurs de son enfant.

 

« Dès le début, les soins affirmatifs ont consisté à donner à l’adolescente des hormones masculines. » a dit Elaine lors d’une table ronde organisée par Heritage Foundation. « On teste la testostérone chez les fillettes de moins de douze ans, et les œstrogènes chez les garçonnets. Ce sont de graves traitements hormonaux qui ont un impact sur le développement du cerveau et la santé cardio-vasculaire, et peuvent accroître le risque de cancer. »

 

 

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Cela nous mène à la table d’opération, où les adolescents, dépourvus de la maturité mentale nécessaire à la prise d’une décision aussi grave, sont exposés aux manipulations chirurgicales irréversibles à coup de bistouri. Les doubles mastectomies chez les filles, par exemple, ainsi que la confection de faux pénis à partir de chair prise en d’autres parties du corps, ne sont que quelques-unes des procédures sans précédent actuellement disponibles.

 

Elaine a évoqué l’histoire très médiatisée de Jazz Jennings, dont le diagnostic avait été « dysphorie de genre », et qui avait été élevé comme une fille depuis l’âge de cinq ans. Jazz a été traité avec des hormones à l’âge de onze ans et de 17 ans ; avec une opération, on lui a retiré le pénis, et on lui a fabriqué une imitation de vagin avec la paroi de son estomac.

 

« Après la chirurgie, les plaies de Jazz se sont mises à s’ouvrir et une boursouflure de sang a commencé à se former ». Une opération d’urgence a été réalisée. Selon le médecin de Jazz, « Quand je l’ai mise sur le lit, j’ai entendu un bruit sec. Quand j’ai regardé, la chose entière s’était ouverte [ou fendue, NdT]. »

 

Elaine a qualifié l’affaire de Jazz d’« expérience médicale sur enfant » qui « se joue à la télévision depuis 12 ans. » Il faut noter qu’un scénario plein de drame similaire, a captivé la nation avec le changement de sexe très médiatisé par la télévision, de Caitlyn Jenner, née Bruce Jenner, ancien médaillé d’or olympique, qui était sans doute le plus grand athlète des États-Unis de tous les temps.

 

« La question évidente est de savoir combien d’enfants impressionnables, dont beaucoup évoluent physiquement du fait de la puberté, ont été incités à changer de sexe (chose dont l’enfant n’a pu connaître que des médias ou d’une source externe, à moins que le les parents s’engagent dans des sujets de discussion aussi étranges à table) par ces personnalités ? » Peu de gens pourraient douter maintenant de la forte influence des célébrités à la télévision sur les gens, et en particulier sur les adolescents. En fait, c’est toute la notion sous-tendant l’idée de « modèle positif ». Il n’est pas certain que Caitlyn Jenner soit à même de prétendre à cette qualité.

 

 

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Selon le docteur en médecine Michael Laidlaw, ces enfants, qui vivent ce que la communauté médicale a baptisé « dysphorie de genre », transgresseront leur nature, soit naturellement, soit avec l’aide de la médecine. Selon le Dr Laidlaw, qui cite des études, de nombreux jeunes présentant ces symptômes, souffrent de troubles neuro-psychiatriques et d’autisme. « Les médias sociaux et YouTube, ce genre de choses comme regarder à longueur de journée des vidéos de gens ayant changé de sexe, semblent jouer un rôle… de contagion. » en vulgarisant ces idées dans le public.

 

Le mouvement est fondé sur l’idée libérale moderne de l’identité de genre, qui se définit par « ressenti de l’essence intime de l’individu, » indépendamment de la réalité sexuelle biologique.

 

Le Dr Laidlaw a peut-être présenté la meilleure affaire contre des parents, qui s’étaient empressés de conclure que leur enfant avait besoin de médicaments bloquant la puberté ou de doses extrêmes d’hormones, par exemple, quand le cancer est diagnostiqué.

 

« Si un enfant ou quelqu’un que vous connaissez a le cancer, aimeriez-vous que ça tourne mal, voudriez-vous que l’imagerie prouve la maladie avant d’engager une chimiothérapie néfaste. » a-t-il demandé. Pourtant, nous permettons aux enfants et adolescents de subir des interventions chimiques et chirurgicales irréversibles, sans que rien ne montre que le sexe du patient est inadéquat.

 

En d’autres termes, avec ses expériences radicales et irréversibles, qui n’ont pas été prouvées apporter le bonheur et le bien-être à ceux qui sont traités (ou amputé), la communauté médicale met non seulement des bâtons dans les roues de Mère Nature, mais aussi dans la vie des enfants.

 

« Nous faisons subir des thérapies très dangereuses en nous fiant à des diagnostics non objectifs. » a déclaré le Dr Laidlaw. Et il a été obligé de répéter ce qui est connu depuis des millénaires :

 

« Il n’y a que deux sexes. Le sexe est fixé à la naissance, personne ne le choisit. Les toubibs ne disent pas arbitrairement que c’est un garçon ou une fille. Tout le monde sait reconnaître les sexes. »

 

« Je dirais demandez à votre grand-mère. Ne lisant pas les revues scientifiques, elle vous dira exactement comment différencier les garçons des filles. »

 

 

Robert Bridge / Strategic Culture Foundation

 


 

Time : 4 mn 39 [Vostvfr] / [1]

 

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Michael K. Laidlaw, MD, est un endocrinologue exerçant à Rocklin, en Californie. Le Dr Laidlaw a obtenu son diplôme de l’École de médecine de l’Université de Californie du Sud en 2001 et exerce depuis 18 ans. Il a expliqué les dangers des nouvelles thérapies radicales affirmant la transition pour les enfants atteints de dysphorie de genre.

 


 

Photo composite

Photo : pour illustration

 


 

Source :

https://reseauinternational.net/voyage-au-bout-de-la-folie-des-frankenstein-occidentaux-modernes/

https://www.zerohedge.com/news/2019-04-14/frankenstein-designer-kids-what-you-dont-know-about-gender-transitioning-will-blow

www.strategic-culture.org/news/2019/04/14/frankenstein-designer-kids-what-you-dont-know-about-gender-transitioning-will-blow-your-mind.html

 

Article :

Réseau International

Traduction Petrus Lombard

 

Vidéo :

[1] Testimony of Dr. Michael Laidlaw: The medical and ethical consequences of HR5, the Equality Act. – Kelsey Coalition / YouTube

[2] Medical Risks of Hormonal and Surgical Interventions for Gender Dysphoric Children – The Heritage Foundation / YouTube

9 commentaires

    • tout comme un des premiers trans aux USA qui, une fois qu’il a fait son changement s’est rendu compte que c’était n’importe quoi et a dit qu’il le regrettait. Et qu’au lieu d’encourager ces pratiques et de prescrire des hormones, les psys devraient plutôt y voir un signe de détresse et de soigner psychologiquement les gens plutôt que de sire oui oui c’est tout à fait naturel

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  1. Je suis tombée sur la couverture du torche-fesses Marianne (en poster sur un kiosque) qui ouvre clairement la guerre aux gens qui aiment leur pays et qui ont encore un semblant de valeurs. Aimer son pays, son identité se résume à être raciste et homophobe. Ce monde est à vomir et je le vomis par tous les pores chaque jour un peu plus.

    Aimé par 1 personne

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