UFO | OVNI : Alerte au-dessus des centrales nucléaires [Vidéos]

 

Centrale nucleaire

 

 

D’un côté les ovnis, objets volants dont on ne connaît ni la nature ni l’origine, de l’autre la technologie nucléaire, capable d’éradiquer toute vie sur Terre en un funeste souffle. Si le lien entre les deux ne semble pas évident, on dénombre pourtant, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, un nombre impressionnant de survols, par ces engins, de centrales civiles et militaires. Enquête sur un phénomène stupéfiant.

 

Le 24 juin 1947, État de Washington, le pilote civil Kenneth Arnold survole les Rocheuses. C’est alors qu’il aperçoit neuf objets étranges en forme de disques, volant à toute allure. Grâce à deux sommets de montagne, il parvient à estimer leur vitesse : environ 2 800 kilomètres/heure ! Un chiffre bien supérieur aux capacités des aéronefs de l’époque. Quatre jours plus tard, dans le Nevada, un pilote de chasse aperçoit six objets discoïdaux, qui le suivent et le dépassent à vive allure. Le Pentagone est alerté. Suite à ces événements, le nombre de survols d’ovnis sera croissant et leur nature de plus en plus inquiétante. En effet, certains d’entre eux semblent se concentrer sur des sites militaires nucléaires. L’Amérique est en ébullition : s’agit-il d’une arme secrète russe ou allemande ? D’un phénomène naturel ? Ou bien d’aéronefs exogènes ? Étonnamment, le sujet est très largement documenté depuis 70 ans : outre les centaines de documents déclassifiés, on compterait de nombreux témoignages de militaires et des preuves physiques sans équivoque… Pour autant, la corrélation entre ovnis et nucléaire est-elle avérée ?

 

 

Bombe nucléaire et premiers ovnis

La technologie atomique a été mise au point aux États-Unis en pleine Seconde Guerre mondiale. En 1942, l’ingénieur et conseiller scientifique du président Roosevelt, Vannevar Bush (qui jouera aussi un rôle prépondérant dans l’étude des ovnis) annonce au président la faisabilité de la bombe atomique. Un vaste programme ultra-secret est lancé : le projet Manhattan. Dès juillet 1945, la première bombe expérimentale explose dans le désert du Nouveau-Mexique. En août, deux autres sont lancées, pulvérisant Hiroshima et Nagasaki, au Japon. Cet événement marquera la fin de la guerre. Mais aussi les prémices de la guerre froide, durant laquelle un arsenal massif est développé. Jean-Jacques Velasco est une figure incontournable du sujet ovni en France. Il a dirigé le Gepan (Groupe d’étude des phénomènes aérospatiaux non identifiés, créé en 1977) organisme officiel, de 1981 à 2004.

 

Il souligne que « La puissance totale dégagée [par les explosions nucléaires, NDLR] a été de 440 mégatonnes (la puissance des deux bombes sur Hiroshima et Nagasaki fut de 15 et 21 kilotonnes) […]. Au plus fort des essais dans l’atmosphère, dans les années 1961 à 1963, on enregistra jusqu’à une explosion tous les trois jours ! »

 

 

La première vague

C’est aux États-Unis, aujourd’hui deuxième détenteur d’armes nucléaires après la Russie et seul État à avoir utilisé l’arme nucléaire en temps de guerre – que se serait concentré le plus grand nombre de « visites ». En effet, entre juin et juillet 1947, soit deux ans après l’explosion de la première bombe, une vague d’ovnis s’abat sur l’ouest du pays. Nagib Kary, responsable du média Ovnis-Direct, collecte et étudie les faits relatifs aux ovnis et à la phénoménologie, et s’intéresse particulièrement au rapport avec le nucléaire.

 

D’après lui, « Entre 1947 et 1952, on dénombre 37 observations d’ovnis au-dessus des périmètres du complexe d’Oak Ridge et de la base de Clarksville, hauts lieux de la recherche nucléaire. Le centre d’essai de fusées de White Sands et les complexes de Kirtland et Sandia, au Nouveau-Mexique, sont à cette époque le théâtre de remarquables observations d’ovnis, si bien que les hauts responsables militaires américains commencent à tirer la sonnette d’alarme ».

 

Plusieurs groupes d’étude secrets sont constitués afin de mettre en lumière le phénomène. Le 23 septembre 1947, le général Nathan Farragut Twining indique, à propos des diverses occurrences, que :

« Le phénomène signalé est quelque chose de réel et non visionnaire ou fictif. Il y a des objets se rapprochant de la forme d’un disque, dont certains apparaissent plats en dessous et en forme de dôme au-dessus. Ces objets sont aussi grands que des appareils construits par l’homme, ont une surface métallique ou réfléchissant la lumière, montrent des rapidités d’ascension et de manœuvrabilité extrêmes sans son associé et entreprennent des actions qui doivent être considérées comme d’échappement lorsqu’ils sont contactés par des appareils ou un radar ».

 

Des capacités technologiques dont ni les Soviétiques ni les Américains ne disposaient à cette époque, ni même aujourd’hui.

 

Puis en décembre 1948, d’étranges « météores » survolent les bases d’Holloman AFB (Air Force Base) et de Kirtland AFB, qui abritent des laboratoires voués à la recherche nucléaire. D’après de nombreux experts dont Nagib Kary, on commence alors à suspecter une corrélation entre nucléaire et ovnis :

« Un groupe de réflexion travaillant dans l’ombre, composé de scientifiques de haut niveau, dirigé par le Dr Vannevar Bush, publie un rapport top-secret en décembre 1948, intitulé “Analysis of Flying Objects Incidents in the US”, dans lequel il fera l’hypothèse que les apparitions d’ovnis sont provoquées par les essais nucléaires. »

 

 

Des ovnis qui interfèrent avec le matériel

Au-delà de témoignages visuels, potentiellement soumis à des variables, certains objets volants auraient eu un impact sur le fonctionnement des centrales. Le 27 septembre 2010, une conférence de presse, retranscrite en direct sur la chaîne CNN, est organisée par Robert Hastings, un enquêteur américain. Depuis 1973, il a interviewé plus de 120 membres du personnel militaire, anciens ou retraités, témoins d’ovnis sur des sites de missiles nucléaires, des aires de stockage et des sites d’essais d’armes nucléaires. Lors de cet événement exceptionnel, sept vétérans ont partagé leur récit à visage découvert. Robert Hastings explique qu’en mars 1967, sur la base aérienne de Malstrom (Montana) :

 

« Des ovnis ont plané au-dessus de deux groupes de missiles nucléaires, lors de deux incidents à huit jours d’intervalle. Trois des quatre officiers de lancement qui étaient sur place ont confirmé publiquement que les incidents ont bien eu lieu ».

 

 

Certains objets volants auraient eu un impact sur le fonctionnement des centrales.

À l’époque, le capitaine Robert Salas était officier de lancement, le capitaine Robert Jamison, officier de ciblage de missiles nucléaires. Voici ce qu’a rapporté le capitaine Salas, appuyé par son ex-confrère :

 

« Nos missiles se sont mis à entrer dans ce qu’on appelle un état “No-Go” ou non lançable… Ils avaient été mis hors service, tandis que cet objet stationnait toujours au-dessus de notre site, de notre base de contrôle de lancement. […] Nous avions aussi des voyants de sécurité allumés, ce qui signifiait des incursions de sécurité sur certaines des bases de lancement. »

 

Un autre cas surprenant est celui de l’Hudson River, qui a fait l’objet d’un livre : Ovnis sur l’Hudson River [1]. Entre 1983 et 1985, une vague d’ovnis touche plusieurs États au nord de la ville de New York. Plusieurs milliers de témoins décrivent un ovni gigantesque d’un, voire deux kilomètres de long ! L’une de ces apparitions a lieu au-dessus de la centrale civile d’Indian Point. Onze gardiens du site auraient été témoins du survol d’un objet faisant du sur-place à moins de 300 mètres d’altitude.

 

L’un d’eux dira que : « Lorsque l’objet s’est approché de la barrière et du réacteur numéro trois, le système de sécurité de la centrale nucléaire a cessé de fonctionner. Les détecteurs de mouvement se sont éteints et tout le système est tombé en panne. Au niveau des écrans de contrôle, l’ordinateur qui gère tous les systèmes de sécurité et de communication s’est éteint ».

 

Le lendemain, le chef des agents de sécurité leur a annoncé que rien ne s’était passé, et que l’événement devait être oublié.

 

 

Opacité gouvernementale et témoins tardifs

Le sujet ovni a suscité l’intérêt du gouvernement américain dès les premières observations, bien qu’il ait parfois affirmé le contraire. Dès 1947, l’USAF met en place une commission chargée d’étudier le phénomène. Ainsi naît le projet Sign, remplacé par Grudge puis face à la recrudescence des observations, naît le projet Blue Book, dirigé par Edward Ruppelt. Ce dernier, parallèlement à l’étude des cas rapportés, contacte secrètement un organisme de recherche. Jean-Jacques Velasco explique que le rapport qui en découle, de l’institut Battelle, « recense sur un plan statistique les différents cas d’observations aux États-Unis. Il est extraordinaire et confirme l’existence d’une catégorie de phénomènes non identifiés. Un travail exceptionnel de localisation spatiotemporelle a été effectué, qui met en avant le fait que la plupart des cas de catégorie D [non identifiés, NDLR] se positionnaient au-dessus des centres stratégiques et nucléaires américains ». Près de 20 % des phénomènes aériens inconnus observés depuis le territoire américain le seraient près de sites stratégiques.

 

Pourtant, lorsque Blue Book est dissout en 1969, on peut lire dans sa conclusion :

« Aucune preuve n’a été soumise à l’Air Force, ni découverte par elle, que des observations entrant dans la catégorie “non identifiés” démontrent des capacités technologiques ou des principes qui dépasseraient nos connaissances scientifiques actuelles. »

 

Face à la désinformation ambiante, il faut attendre le processus de déclassification du FOIA (Freedom of Information Act), amendé en 1974, pour que les langues se délient. Cette loi exige que le gouvernement américain ouvre une partie de ses dossiers à ceux qui auraient vu passer des informations à propos d’incidents ainsi que d’activités classées. Plus de 1 500 documents de l’USAF, du FBI et de la CIA sont rendus publics.

 

 

Ovnis en France

Outre les États-Unis, il existerait des rapports fiables faisant état du survol de centrales dans d’autres pays nucléarisés : Russie, Inde, Pakistan, Royaume-Uni… et France. La plus grande vague d’observations dans l’Hexagone (tous types de survols confondus) s’est produite durant l’année 1954.

 

Jean-Jacques Velasco explique que : « La plupart des 4 000 brigades de gendarmerie avaient un livret pour recueillir les témoignages. Ceux qu’elles nous ont confiés remontaient aux années 1950. Grâce aux statisticiens, nous avons créé une base de données avec une pré-classification : catégorie A pour les objets parfaitement identifiés, B pour les éléments pratiquement identifiables pour lesquels il manquait des informations, C pour les phénomènes qui ne pouvaient pas être vérifiés faute d’informations suffisantes, puis D, les phénomènes aérospatiaux non identifiés ».

 

Entre septembre et décembre 1954, 120 témoignages ont été enregistrés par la Gendarmerie nationale, dont près de 40 % de catégorie D. Rappelons que la décision d’utiliser le nucléaire à des fins militaires sera prise par la France en 1954 et que l’année suivante est marquée par la mise en service des premiers sous-marins français porteurs de missiles balistiques.

 

 

Plusieurs groupes d’étude secrets sont constitués afin de mettre en lumière le phénomène.

Plus récemment, 2014 et 2015 en France correspondent à une vague de survols sans précédent des centrales nucléaires par des engins a priori non identifiés. D’octobre 2014 à février 2015, 17 des 19 sites nucléaires ont ainsi été survolés de nuit, en toute impunité. Un directeur national d’EDF les qualifiera, sur une chaîne de télévision, d’« engins volants non identifiés », tandis que le directeur de la centrale du Blayais (Gironde) a déclaré : « Ici, on n’a pas vu de drone, on a vu un ovni. »

 

Greenpeace, habitué des survols pour des opérations de communication déclarera :

« Nous sommes très inquiets de la survenue et de la répétition de ces survols suspects sans qu’aucune réponse sur leur origine ne soit fournie ni par EDF ni par les forces de l’ordre. Car les sites nucléaires sont vulnérables, tout particulièrement par les voies aériennes. »

 

 

Pascal Fechner est l’actuel directeur du Mufon France, le plus ancien organisme privé indépendant de recherche sur le phénomène ovni. Il explique que :

« plusieurs sites ont été survolés de façon concomitante. On a parlé de drones, sauf qu’il n’y a aucune explication officielle quant à la concomitance de ces survols, qui nécessitaient des moyens techniques très importants et une prise de risque avérée ».

 

 

Nature et intention des ovnis

Si peu de doutes subsistent quant aux survols répétés de centrales nucléaires, quelle intention peut-on y lire ? Puisqu’aucun incident découlant de ces incursions n’a été déclaré à ce jour, malgré la supériorité technologique des engins, il n’y aurait donc pas de volonté de nuire. Et si, au contraire, ils souhaitaient nous prévenir, ou nous protéger des dangers du nucléaire ?

 

C’est la théorie de Robert Hastings : « Une possibilité serait que les ovnis, s’ils sont pilotés par des aliens, sont utilisés pour interférer, ici et là, avec les armes nucléaires américaines, peut-être pour transmettre le message que les humains “jouent avec le feu” et que, par la simple présence du nucléaire, nous mettons en péril l’avenir de l’humanité. Une guerre nucléaire à grande échelle serait catastrophique pour la civilisation et l’intégrité de la planète, à cause des radiations. »

 

 

Les intelligences à l’œuvre auraient-elles une conscience écologique ? Pour Nicolas Dumont, psychologue clinicien et psychothérapeute transpersonnel qui est intervenu auprès d’une centaine de personnes victimes d’abduction [des rencontres avec des entités non humaines en états modifiés de conscience, NDLR], cela ne fait aucun doute :

« L’année du survol des centrales nucléaires par les fameux “drones”, une abductée avait reçu deux mois avant le message par ses “visiteurs” qu’une action serait faite autour des centrales pour éveiller l’attention civile au fait d’arrêter le nucléaire maintenant. S’en est suivi le survol de toutes les centrales par des “drones”, action qui n’a jamais à ma connaissance été revendiquée… Par contre, on a de nombreux témoignages affirmant que ces survols étaient le fait d’ovnis. »

 

Il confirme d’autre part un message souvent relayé par ses patients : « Dans le discours des abductés, la question du nucléaire est souvent prise dans les messages d’avertissement écologiques. Ce n’est pas seulement le nucléaire qui est pointé, mais la destruction de toute vie sur notre planète, par tous les moyens que nous avons créés pour cela. »

 

Certains témoignages évoquent même l’idée que certains essais nucléaires perturberaient l’ensemble de l’Univers. On pourrait y lire une invitation à voir « plus loin », à sortir de l’illusion de notre omniscience, comme le suggère Nagib Kary :

« Les corrélations entre les ovnis, l’atome, l’écologie et la conscience, qui est primordiale dans l’étude de ce phénomène, sont à mon sens aujourd’hui quasiment évidentes. L’attitude de l’être humain suite à la découverte de l’atome est identique à celle d’un enfant qui vient de déballer son cadeau de Noël. Et c’est selon moi à ce moment que nous avons été mis sous surveillance très accrue, car nous risquons non seulement de causer des dégâts irréversibles sur notre belle planète, mais également dans les galaxies, voire même sur les dimensions qui nous entourent. »

 


 

Time : 2 mn 04 / [1/3]

 

OVNI sphère filmés au-dessus d’une centrale nucléaire. Date et lieu inconnu.

 


 

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Source : Des ovnis survolent la centrale nucléaire de Jaworzno en Pologne / Mediapart

 


 

Time : 1 h 10 mn / [3/3]

 


 

UFO - Objet

 

Matthieu Wikkelmuller, directeur technique adjoint chez EDF-CNE Fessenheim.

 


 

« Les témoignages de gendarmes recueillis sur le site de Crès-Malville parlent de survols dans des conditions météo de vents de 70 km/h et avec de la pluie. On a des hélicoptères à Golfech qui suivent pendant 9 km ces drones. On a un drone qui circule entre flamanville et la hague sur 18 km. », énumère Yannick Rousselet. « On voit que la thèse des petits drones que l’on pilote le nez sur la clôture ne tient pas. » conclut-il.

 

Sciences et Avenir

 


 

« L’armée se trouve confrontée à une stratégie soutenue par une technologie exogène. »

 

Paris Match / lettre ouverte au ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian le 6.12.2014

 


 

Ciel

 


 

Il appartient à chacun de se forger sa propre opinion.

 


 

Source :

https://ufolog.eu/category/drovnis/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Jacques_Velasco

https://www.inrees.com/articles/ovnis-alerte-centrale-nucleaire/

https://www.nexus.fr/actualite/exologie/survols-centrales-ce-netait-pas-drones/

https://www.nurea.tv/video/ovnis-au-dessus-de-la-centrale-nucleaire-de-fessenheim/

https://blogs.mediapart.fr/jjames/blog/271015/des-ovnis-survolent-la-centrale-nucleaire-de-jaworzno-en-pologne

https://www.sciencesetavenir.fr/high-tech/ou-en-est-on-de-l-affaire-des-survols-de-centrale-nucleaire-par-les-drones_35723

https://www.sudouest.fr/2015/01/21/c-est-un-ovni-pas-un-drone-qui-a-survole-la-centrale-nucleaire-du-blayais-1804446-2780.php

https://www.liberation.fr/checknews/2019/02/16/les-ovnis-apercus-dans-le-ciel-du-loiret-sont-ils-la-preuve-d-une-vie-extraterrestre_1709465

 

Article :

INREES

 

Voir notamment :

[1] UFOs | OVNIs : Hudson River [Vidéos]

 

Vidéo :

[1] UFO – Centrales nucléaires

[2] UFOs Fly Close To European Power Plant! – looknowtv / YouTube

[3] Conférence : « Ovnis et nucléaire : incroyables corrélations » – Ovnis-Direct TV / YouTube

 

Photo :

Pour illustration

12 commentaires

      • 😉 Les O.V.N.I., vaste sujet. Est-ce que les films Men in Black et autres films du genre sont là pour que l’on se fasse à l’idée de la possible existence et présence d’extra-terrestres, ou pour discréditer ceux qui en ont vu, ou les deux, ou une énième manipulation des foules ?

        Aimé par 1 personne

      • Peut-être bien les 3 propositions Glomérule.

        Quant à savoir s’ils sont des extraterrestres, autres dimensions, etc… Je ne sais absolument pas. Beaucoup ont des idées bien précises mais pour ma part cela serait pure spéculation.

        Il y a un phénomène qui colle à l’humanité depuis des millénaires. Maintenant savoir ce que sait, ce qu’ils sont, leurs motivations, etc… Un véritable mystère pour moi.

        Je constate juste les cas sérieux et documentés.

        Pour les vidéos, je reste très prudent car avec les logiciels informatiques et un peu de pratique, tu peux réaliser de très bons montages vidéos, réellement bluffant.

        Donc pour moi, ce n’est pas une croyance mais un constat : il y a quelque chose mais quoi ou qu’est-ce ?

        Aimé par 2 personnes

    • Merci pour l’information Yves.

      Si cela serait des drones, ils seraient très vite mis hors d’état. Dans les cas présent, même des hélicoptères de l’armée se font distancées.

      Ces ‘drones’ peuvent faire du vol stationnaire par tout temps (etc, etc…). Un drone ne pourrait pas voler ainsi.

      C’est autre chose mais cela je ne te l’apprends pas.

      Aimé par 1 personne

  1. La légèreté des peuples sur ce sujet, c’est consternant. J’espère que tous ceux qui possèdent ces engins, respectent maintenant toutes vies.

    Aimé par 1 personne

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