Coronavirus – Opération Covid-19 : Tester le degré de soumission des peuples et de notre paranoïa

 

Nous sommes dans un monde globalement sidéré, aujourd’hui. Autrement dit, tétanisé, paniqué. Nos cerveaux sont placés dans une situation de paranoïa excessive, démesurée. Nos interrupteurs de paranoïa ont été activés !

 

Martha Stout, psychologue états-unienne, décrit cela dans son livre, « The Paranoïa Switch », paru en 2007, non traduit en français.

 

Notre interrupteur de paranoïa avait déjà été activé le 11 septembre 2001. Vous vous souvenez du 18 juin 2001 ? Ce que vous avez fait, avez mangé, les personnes que vous avez rencontrées, le programme TV…  Non, à moins de vous être mariés ce jour-là. Et encore.

 

Par contre, tout le monde se souvient de ce qu’il faisait le 11 septembre 2001, et surtout de ce qui s’est passé ce jour-là. Pas parce que tous les gens ont une mémoire formidable ou se sont mariés ce jour-là. Parce que leur interrupteur de paranoïa a été activé de manière maximale.

 

Je ne vais pas vous faire un cours de neurosciences ou d’anatomie du cerveau, ou vous parler d’amygdale cérébrale ni de système limbique.

 

Ceux qui le veulent, écoutez l’auteur [1] ou lisez le livre de Martha Stout (photo ci-dessous) [2], édifiant, instructif, ou cet article de synthèse traduit en français sur le site fr.sott.net : La guerre limbique et l’« Interrupteur de paranoïa » de Martha Stout

 

 

Martha Stout

Martha Stout, Ph.D / Pour illustration

 

 

En résumé, plus un événement traumatique est fort, surtout visuel, plus l’amygdale cérébrale, centre de la peur et de l’agressivité, est stimulée et surtout, moins l’hippocampe (centre de la mémoire factuelle) et ses relais avec les centres supérieurs du cerveau (réflexion) sont opérationnels, intègres.

 

Cela signifie ?

 

Après l’événement traumatique, même des années après, toute image, son, mot en rapport de près ou de loin avec cet événement nous replonge dans le même état de peur par une activation de l’amygdale et une dépression de l’hippocampe et de nos centres cérébraux supérieurs.

 

En gros, le « paniqueur », libéré du contrôle de « l’analyste », prend les rênes de notre cerveau, et ce n’est pas beau, ce n’est pas bon.

 

Par exemple, le bruit de klaxon d’une voiture dans la rue peut réveiller immédiatement chez un vétéran de guerre une paranoïa intense complètement disproportionnée voire hors de propos, échappant à la raison.

 

Martha Stout souligne le fait que parmi toutes les expériences traumatiques, celles qui vont causer le plus de sidération, de terreur sont celles causées intentionnellement par nos semblables, comme un viol, un enlèvement, une agression ou un attentat terroriste, bien loin devant celles causées par des accidents (explosion, accident de voiture…) ou des catastrophes naturelles (tremblement de terre…).

 

Ce qu’il faut retenir, c’est qu’une fois sidéré de la sorte, le cerveau humain ne réfléchit plus, ou mal. Un peu comme un court-circuit dans une installation électrique. De ce fait, malgré toute son intelligence, ses connaissances éventuelles ou ses réflexes d’analyse critique d’une situation, le cerveau humain devient comme figé.

 

Il est mûr, prêt à se soumettre.

 

Les émotions primaires comme la peur, la colère et l’agressivité prennent le contrôle. De tels humains deviennent très malléables, très influençables et ressentent une envie très forte de calmer cette peur en préférant les discours simplistes, les solutions toutes faites, même si elles sont irrationnelles, impossibles, illogiques, en y réfléchissant bien.

 

Mais justement !

 

Une fois l’interrupteur de paranoïa activé, les cerveaux des citoyens ne réfléchissent plus. 

 

Les citoyens se laissent conter tous les bobards des autorités officielles qui leur paraissent la solution providentielle, dans ce climat de peur extrême.

 

 

Les pouvoirs en place, bien au fait de ces faiblesses psychologiques de l’être humain, pourraient-elles utiliser nos interrupteurs de paranoïa pour garder leur pouvoir et commettre leurs méfaits ?

Martha Stout, dans son livre excellent, dit que : « Les agents de la peur maintiennent leur pouvoir par l’exploitation des faiblesses humaines»

 

L’histoire montre combien les êtres au pouvoir ont toujours utilisé la peur pour commettre leurs méfaits, souvent en utilisant un bouc émissaire de cette peur afin de se disculper et de donner aux amygdales cérébrales des populations trompées un os à ronger.

 

  • Hitler a utilisé les anarchistes, les juifs, les communistes, accusant ces-derniers de l’incendie du Reichstag [3] pour faire passer ses lois liberticides et instaurer le pouvoir nazi.

 

  • Les administrations états-uniennes successives ont toujours utilisé la peur de l’autre, des Amérindiens aux Russes, et à présent des Chinois.

 

  • Bush Junior a utilisé la peur des terroristes et des musulmans en utilisant le mensonge Oussama Ben Laden, puis le Fakenew des armes de destruction massive pour envahir l’Irak, nouvel ennemi diabolisé, utilisé pour activer l’interrupteur de paranoïa des populations civiles occidentales.

 

  • Le Nouvel Ordre Mondial (entité transnationale voulant aujourd’hui instaurer un gouvernement mondial), utilise un virus, le COVID-19 pour faire peur, tétaniser les populations, activer leur interrupteur de paranoïa, et cette fois, l’ennemi est représenté par toute personne qui s’opposerait à leurs lois liberticides présentées comme des lois favorisant le bien commun. Le leur surtout !

 

 

Toujours le même moyen pour le même but :

Créer un interrupteur de paranoïa puissant et l’utiliser pour sidérer les capacités de réflexion des populations, diaboliser les opposants aux autorités et faire accepter n’importe quoi, tant que la peur est calmée.

 

Pour le 11 septembre 2001, l’image des tours jumelles qui s’effondrent et du nuage de poussière, des gens qui sautent dans le vide ou détalent comme des lapins affolés dans les rues noircies de suie ont servi d’accroche, de détonateur pour nos amygdales cérébrales.

 

Pour la pandémie COVID-19, il a suffi de ces convois de morts en Italie, de quelques faits divers sur des jeunes décédés [6] et de ces décomptes macabres quotidiens, de ces statistiques tronquées que nos médias nous infligent chaque jour.

 

L’OMS de 2009, dont toute la corruption a pourtant été mise en lumière officiellement [5-6-7], est restée et reste l’organisateur patenté de cette panique organisée. Le même gang de malfaiteurs a tout simplement remis ça, exploitant les faiblesses psychologiques bien connues de l’humanité.

 

Cette fois, c’est fait à un niveau jamais vu, au niveau mondial. Et pour de nombreux pays dits civilisés, « libres », ça marche.

 

Pour moi, c’est cela le plus effrayant, bien plus effrayant que le COVID-19, que tous ces pays, dont le mien la Belgique, se soient soumis si vite à ce Nouvel Ordre Mondial maléfique.

 

Le livre de Martha Stout ne fait pas que décrire comment la terreur recâble nos cerveaux et remodèle nos comportements, il décrit également comment nous pouvons réinstaurer nos dignités et nos libertés de penser.

 

Dr Pascal Sacré

 


 

Note de l’auteur :

 

Une société humaine saine :

 

  • Aurait dans tous les domaines de vie, en premier lieu celui de la santé, des conseils et des comités composés d’experts indépendants des marchands, des vendeurs, de l’industrie qui n’a rien de scientifique, qui est mercantile surtout dans une société capitaliste.

 

  • Aurait des médias « officiels » au moins neutres, au mieux critiques à l’égard du pouvoir exécutif.

 

  • Aurait au sein de son programme d’éducation nationale des cours sur le fonctionnement du cerveau humain et des cours sur ses faiblesses au travers du système limbique, de l’amygdale cérébrale et de la construction des souvenirs, et des cours vulgarisés sur la façon dont les traumatismes psychologiques affectent toutes ces fonctions.

 

  • Aurait dans la foulée de ces cours explicatifs, des cours d’auto-défense intellectuelle et émotionnelle, avec des cours à prendre au choix parmi les nombreuses disciplines ayant prouvé leur efficacité dans la gestion du stress et de son équilibre émotionnel (méditation, auto-hypnose notamment).

 

  • Aurait des organes de contrôle composés d’individus sans aucun lien d’aucune sorte avec les vendeurs, les marchands, l’industrie citée plus haut. Des « sages » qui l’ont prouvé par leurs actes et pas seulement par leurs paroles, tels le professeur Henri Joyeux, le professeur Philippe Even, le docteur Michel de Lorgeril ou feu Sylvie Simon en France.

 

  • Aurait dans son système médical et de santé publique un lobby qui mettrait dans la prévention et dans la valorisation des médecines naturelles, en particulier la promotion d’une alimentation saine, autant d’énergie si pas plus que dans la promotion de la vaccination.

 

  • Aurait dans son programme d’éducation nationale des cours valorisant le pacifisme et tous les individus qui l’ont incarné par leurs actes, plutôt que cette série interminable de cours admiratifs sur les plus grands meurtriers de masse de l’Histoire (Napoléon, Alexandre le Grand, Churchill*, Jules César…).

 

  • Valoriserait des résistants à l’oppression sanguinaire tels que Powhatan, Opechancanough, sir William Wallace et Arnold Winkler, plutôt que leurs oppresseurs.

 

 

…« Winston Churchill était un impérialiste patenté, un homme qui n’avait aucunement l’intention de mettre un terme à la domination sur l’Inde, les colonies africaines et les autres possessions britanniques » [8].

 

Racisme invétéré, brutalité, exaltation guerrière, et responsabilité de Churchill – sur le terrain militaire ou lorsqu’il était au pouvoir – dans la répression brutale de nombreuses révoltes (aux Indes, au Soudan, en Afrique du Sud en tant qu’officier de l’armée, en Irlande, en Malaisie, au Kenya en tant que secrétaire d’Etat ou que Premier Ministre britannique), et dans l’abandon à la mort de millions de personnes lors de la famine du Bengale de 1943.

 

Churchill’s Empire. The World That Made Him and The World He Made. Richard Toyle. Londres. Macmillan, 2010.

 

Churchill’s Secret War. The British Empire and the Ravaging of India During World War II, New-York, Madhusree Mukerjee, Basic Books, 2010 (Traduction en français : Le Crime du Bengale. La Part d’Ombre de Winston Churchill, Paris, Les Nuits Rouges, 2015).

 


 

Coronavirus - 1

Pour illustration

 


 

Source :

https://www.mondialisation.ca/operation-covid-19-tester-le-degre-de-soumission-des-peuples-activation-de-nos-interrupteurs-de-paranoia/5644738

 

Article :

Dr Pascal Sacré / Mondialisation.ca

 

Référence :

[1] The Paranoia Switch, vidéo YouTube, interview de l’auteur, en anglais

[2] Le livre, The Paranoia Switch, par Martha Stout, Ph.D.

[3] Reichstagsbrandverordnung, décret de l’incendie du Reichstag
http://fr.wikipedia.org/wiki/Reichstagsbrandverordnung

[4] COVID-19 – Le choix des médias: la peur !

[5] Politique et corruption à l’OMS

[6] Vaccination et pandémie virale 2009 : faites-vous confiance au SAGE ?

[7] COVID-19 – Vérifiez vos sources. Guerre contre… la corruption ?

[8] Christophe Colomb et autres cannibales, Jack D. Forbes, éditions Le Passager Clandestin, 2018, pp 23-24

 

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9 commentaires

  1. Je me souviens bien de ce qui s’est passé le 11 septembre 2001 (et pour cause : les médias nous ont montré et remontré les images) mais je ne me souviens absolument pas de ce que je faisais ce jour-là.
    Mon interrupteur de paranoïa doit être cassé.

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    • Comme j’aime votre remarque! J’ai, par contre, des raisons de bien m’en souvenir, puisque je prévenais quasiment en temps réel un autochtone qui – à la différence des deux autres qui le coiffaient alors – tombait littéralement des nues. Dans cette pyramide-là… il y avait beaucoup moins de monde au courant que là où nous nous trouvions alors (où l’avertissement m’avait été signifié le 3 et valait pour la plage du 9 au 13 – il est des dates et des circonstances que l’on n’oublie jamais) où tous les spécialistes locaux s’accordaient à penser que cela se produirait sur leur territoire propre. Tout le monde peut se tromper, même dans les mécaniques les mieux huilées du monde. Mais il est vrai que les seuls à jamais disposer de tous les éléments du puzzle sont les organisateurs. Et en aucun cas la voie descendante.

      Pour en venir à cet article; quel étrange sourire à cette dame. Pour un peu on le croirait artificiel. Mais je vois du factice partout.

      On peut parer des mots les plus savants des mécanismes forts simples, mais il n’en demeure pas moins assez pitoyable pour nos peuples – jadis si estimés – que d’être tombés si rapidement – en moins d’un siècle! – à un tel niveau de résignation intellectuelle collective et de dépendance pavlovienne.

      J’ai beau tourner la question sous tous les angles possibles; je ne puis me défaire de l’idée que cette habituation à l’abdication de ce qu’il nous restait encore de liberté nous a été livrée sur les plages de Normandie, en même temps que des caisses de boissons gazeuses trop sucrées et des cartons de gomme à mâcher, au moment de ce que nos “liberators” (c’était, du reste, aussi le nom du bombardier tactique concurrent du B17) qualifiaient eux-mêmes dans les intitulés de leurs documents en tant que “[The] INVASION of Europe”. J’ai déjà relevé ailleurs cet intéressant lapsus que d’autres ont révélé à mesure où l’émotion le cédait à la perspicacité.

      Le second impact – que l’on ne peut qualifier de « culturel » que par abus de langage – fut le fait de l’inversion spectaculaire, voulue, de nos valeurs. En premier lieu par l’effet consternant de la série au mètre « Dallas » puis de tout ce qui n’a pas manqué de suivre. Il est du reste facile à chacun d’entre nous de s’en persuader s’il veut bien prendre le temps d’observer l’indigence des dialogues de toutes ces couillonnades hertziennes.

      Le reste coule de source, mais voilà bien deux cas où nous aurions été fondés à lutter par tous les moyens contre la contamination.

      Cependant, à force d’être nourries par du vent, nos mémoires – au même titre que nos entrailles gavées de fourrage de piètre qualité – en sont à faire de l’aérophagie.

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  2. « Dès que vous laissez l’autre prendre, s’emparer de votre pouvoir, de votre discernement, de votre pensée,
    ou une partie de votre pouvoir, que vous laissez l’autre penser à votre place,s’accaparer de votre mental, vous dire comment vous comporter, comment vivre votre vie, quoi ressentir, quoi manger, où aller, comment faire;
    vous perdez votre lumière.
    Et c’est cela l’enjeu de cette planète : en ce moment on doit absolument absolument reprendre notre pouvoir.
    Personne ne peut le faire à notre place.
    Nulle civilisation ne peut survivre à un abandon de ses propres fonctions. »

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    • Que les Guides ne soient pas parvenus à tenir avec la seule méthode Coué et que les écuries d’Augias soient parvenues à un degré d’envasement au-dessus de leurs force, cela me paraît évident. J’aime assez ce qu’un type assez remarquable – et très remarqué – de la première moitié du XXème (non… pas l’arrondissement) avait commencé à faire passer à son peuple: « Peuple, commence par t’aider toi-même… puis viendra le moment où le Seigneur Dieu viendra te prêter main forte ».
      « Penser à votre place? »!!! Mais c’est couramment ce dont s’occupe le petit écran de ce portable qui vous fait face et qui vous dispense les instructions qu’il faut pour vous endormir.
      À part ça cette dame parle de bon sens – comme la plupart des femmes qui revendiquent cette qualité d’essence. On ne peut que lui souhaiter bon courage. Au moins cherche-t-elle – à sa manière et avec les moyens dont elle dispose – à faire avancer le Schmilblick. Et le poète avait indubitablement raison; c’est certainement la femme qui est l’avenir de l’homme (surtout entre les matches de foot). C’est con que Coluche ait été mis aux abonnés absents…

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