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Est-ce que la population n’est pas en train de se suicider collectivement avec un poison lent ?
L’usage du masque pouvait se justifier pendant une courte période d’épidémie entre mars et mai 2020 et une pénurie a été malheureusement à la fois voulue et organisée durant cette période. Aujourd’hui, à l’opposé, le masque est devenu un instrument politique de contrainte. Ce revirement n’est pas seulement incompréhensible, il est porteur de conséquences sanitaires néfastes.
Des réactions biochimiques se produisent dans les poumons avec le frein du masque, lors de l’inspiration et de l’expiration. Dans une atmosphère plus humide et davantage chargée en carbone, des composés tels que le formaldéhyde et autres COV apparaissent. Les seuils critiques sont dépassés en une dizaine de secondes.
Masquer la population aujourd’hui, en septembre 2020, est non seulement anxiogène, mais est aussi porteur de risques sanitaires à long terme.
Cette ambiance malsaine a, de surcroît, des répercussions désastreuses sur l’activité économique qui repose d’abord sur la confiance. Et elle génère une surenchère sans limite dans des mesures sanitaires de plus en plus ridicules et dictatoriales.
Biographie succincte :
Depuis 2007, François Ducrocq est chef d’entreprise, pdg de la société Lisotherme à Saint-Lubin-des-Joncherets. Fort d’un doctorat en économie et un diplôme en chinois. François Ducrocq s’est lancé dans la recherche scientifique.
Tout au long de sa carrière essentiellement consacrée au développement d’entreprises, à la fois pour son compte et en tant que conseil d’entreprises, François Ducrocq a poursuivi des études universitaires en parallèle conjointement à des travaux de recherches.
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François Asselineau revient sur les scandales de la gestion de la pandémie de la Covid19.
4ème scandale : Et si le remède était pire que le mal ? Pour que le masque soit efficace, il faut respecter une utilisation stricte, sauf que celle-ci n’est pas réaliste avec le quotidien des Français.
L’obligation de porter le masque en extérieur, mais avec des exceptions dans telle ou telle situation, aboutit à une réglementation brouillonne et irréaliste. Pour la suivre à la lettre dans les grandes villes et les banlieues, il faudrait passer sa journée à mettre puis à retires des masques, en en changeant à chaque fois. En réalité, la très grande majorité des Français conservent le même masque toute la journée, voire plusieurs jours. Ainsi, ils respirent de manière prolongée dans un nid à virus, microbes et bactéries. Dans ces conditions, plutôt que de se protéger, ne se mettent-ils pas en danger ?
A CHACUN DE SE FORGER SA PROPRE OPINION
Source :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Toluène
https://fr.wikipedia.org/wiki/Méthanal
http://echelledejacob.blogspot.com/2020/09/lusage-des-masques-est-dangereux-et.html
Vidéo :
[1] L’usage des masques est dangereux – Cars MAG / YouTube
[2] L’usage des masques est dangereux – FRANCOIS DUCROCQ / YouTube
[3] Règlementation irréaliste : Les Français gardent le même masque – Les scandales du Covid #4 – Union Populaire Républicaine / YouTube
Photo :
Pour illustration
Et voilà qui nous embrouille un peu plus le débat !
C’est loin d’être simple toute cette affaire. Qu’en penser (pour les masques), sincèrement, n’étant pas un spécialiste en la matière, je ne pourrais pas me prononcer en toute objectivité. Reste que je ne le supporte pas car il me donne des maux de têtes, des vertiges et me fait tousser.
Je suis d’accord que ce port du masque est une aberration, surtout en ce moment.
Mais je me pose quand même la question: Quid du personnel soignant (ex salle d’op) qui utilise depuis très longtemps ce genre de masque?
Y-a-t-il plus de cas de cancer de la gorge, tombent-ils malade régulièrement, etc…?
Je me suis également posé la même question (sur certains points, pas tous car reste notamment les produits de base pour leur conception à grande échelle). Pour les blocs opératoires, ce sont des masques FFP2 ou FFP3 (https://www.revinax.net/fr/tutoriels-infirmiers/masque-ffp2-ffp3-chirurgical-comment-et-pourquoi-les-utiliser/) et la température du bloc est rafraichit (entre 19°C et 26°C – Norme hospitalière : NFS 90-351 d’Avril 2013). Pour les autres agents hospitaliers, habituellement, ils ne le portent pas constamment (hors Covid). C’est ce que j’ai pu constater lorsque je travaillais encore en milieu hospitalier.