Covid-19 & tests PCR : Crimes contre l’humanité – Dr. Reiner Fuellmich [Vidéo]

Time : 49 mn 21 / [1/1]

 


 

Par le Dr. Reiner Fuellmich, le 3 octobre 2020

 

Bonjour, je m’appelle Reiner Fuellmich et je suis admis au barreau en Allemagne et en Californie depuis 26 ans. J’ai pratiqué le droit principalement en tant qu’avocat plaidant contre des sociétés frauduleuses telles que la Deutsche Bank, autrefois l’une des plus grandes banques du monde et des plus respectées, aujourd’hui l’une des organisations criminelles les plus toxiques au monde.

 

VW, l’un des constructeurs automobiles les plus importants et les plus respectés au monde, aujourd’hui connu pour sa fraude géante sur le diesel et Kuehne and Nagel, la plus grande compagnie maritime du monde, que nous poursuivons dans une affaire de corruption de plusieurs millions de dollars.

 

Je suis également l’un des quatre membres de la commission d’enquête allemande sur le Corona. Depuis le 10 juillet 2020, ce comité écoute un grand nombre de témoignages de scientifiques et d’experts internationaux pour trouver des réponses aux questions sur la crise du Corona, que de plus en plus de personnes dans le monde entier se posent.

 

Tous les cas de corruption et de fraude commis par les entreprises allemandes mentionnés ci-dessus sont dérisoires en comparaison de l’ampleur des dommages que la crise du Corona a causés et continue de causer. Cette crise du Corona, selon ce que nous savons aujourd’hui, doit être rebaptisée « scandale du Corona ». Et les responsables de cette crise doivent être poursuivis pénalement et pour dommage civil.

 

Sur le plan politique, tout doit être fait pour que plus jamais personne ne soit en position de pouvoir tromper l’humanité ou tenter de nous manipuler avec ses programmes corrompus.

 

C’est pourquoi je vais maintenant vous expliquer comment et où un réseau international d’avocats plaidera la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : le scandale de la fraude Corona, qui s’est entre-temps transformée en probablement le plus grand crime contre l’humanité jamais commis.

 

Les crimes contre l’humanité ont été définis pour la première fois dans le cadre des procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, c’est-à-dire lorsqu’ils ont concerné les principaux criminels de guerre du troisième Reich. Aujourd’hui, les crimes contre l’humanité sont régis par l’article 7 du code pénal international.

 

 

Les trois grandes questions auxquelles il faut répondre dans le cadre d’une approche judiciaire du scandale du Corona sont les suivantes :

1- Y a-t-il une pandémie de Corona ou seulement une pandémie de test PCR ? Plus précisément, un résultat positif au test PCR signifie-t-il que la personne testée est infectée par le Covid-19 ou cela ne signifie-t-il absolument rien en rapport avec l’infection par le Covid-19 ?

 

2- Les mesures dites anticorona telles que le confinement, les masques faciaux obligatoires, la distanciation sociale et les règlements de quarantaine servent-ils à protéger la population mondiale contre le Corona ? Ou ces mesures ne servent-elles qu’à faire paniquer les gens pour qu’ils croient, sans se poser de questions, que leur vie est en danger afin, qu’en fin de compte, les industries pharmaceutiques et technologiques puissent générer d’énormes profits grâce à la vente des tests PCR, tests antigènes et anticorps et vaccins, ainsi qu’à la récolte de nos empreintes digitales génétiques ?

 

3- Est-il vrai que le gouvernement allemand a fait l’objet d’un lobbying massif ? Plus que tout autre pays, les principaux protagonistes de cette soi-disant pandémie de Corona, M. Drosten, virologiste à l’hôpital de la Charité à Berlin, M. Wheeler, vétérinaire et chef de l’équivalent allemand du CDC, le RKI, et M. Tedros, chef de l’organisation mondiale de la santé ou OMS, ont fait savoir que l’Allemagne était un pays particulièrement discipliné et qu’elle devait donc devenir un modèle pour le reste du monde pour son respect strict, et bien sûr réussi, des mesures de lutte contre le Corona.

 


 

 

 

Biographie succincte :

Dr. Reiner Fuellmich a fréquenté l’école à Brême et Farmington Hills, Michigan. Il a terminé ses études de droit à l’Université Georg-August à Göttingen et à Los Angeles.

 

Entre autres, il a travaillé comme assistant de recherche à la faculté de droit de l’Université Georg-August à Göttingen, où il a fait son doctorat. Avant de rejoindre le cabinet d’avocats Dr. Fuellmich, il a travaillé dans le secteur des services bancaires aux entreprises de la Deutsche Bank en Allemagne et au Japon.

 

Dr. Fuellmich a enseigné en tant que professeur et conférencier dans des universités en Allemagne et en Estonie.

 

De 1985 à 2001, le Dr. Reiner Füllmich fut assistant de recherche Centre de recherche en droit médical et pharmaceutique, chaire Prof. Deutsch/Université de Göttingen et collabore aux commissions d’éthique des hôpitaux universitaires de Göttingen et de Hanovre.

 

Depuis 1991, il est avocat spécialisé dans la protection des consommateurs, spécialisé dans les questions bancaires.

 

En 1993, le Dr. Reiner Füllmich est admis au barreau en Allemagne et en 1994 au barreau de Californie – États-Unis.

 


 

Source :

https://www.corona-schadensersatzklage.de/

https://www.fuellmich.com/dr-reiner-fuellmich/

 

Note :

Chaîne Youtube du Dr. Reiner Fuellmich :

https://www.youtube.com/channel/UCJB8ANhWVhgQf9Rw-KJo26Q

 

Vidéo : 

[1] Covid 19 & tests PCR : Crimes contre l’humanité – Fils de Pangolin

 

Version originale :

https://www.youtube.com/watch?v=kr04gHbP5MQ&feature=youtu.be

 

Photo :

Pour illustration

18 commentaires

  1. Nous avons la dette par la fait de la signature du dominion (signé par le premier ministre du Canada Pierre Elliot Trudeau, et, ça a donné le pouvoir sur la création monétaire au secteur privé.

    Comme le démontre ce graphique de l’Institut Fraser: admirez la stabilité de notre dette de 1867 à 1974. Attaboy! Ça, c’était de la saine gestion! Puis vint le «coupable»: Pierre Elliott Trudeau…
    La grande infamie de Pierre Elliott Trudeau
    L’élément déclencheur: le 26 juin 1974, la banque Allemande Hestatt fait faillite et ébranle durement le monde financier. Il n’en faut pas plus pour donner des sueurs froides à toute l’industrie bancaire. Les banquiers prennent conscience qu’ils ne sont pas intouchables. Alertés par cette situation problématique, les gouverneurs des plus grandes banques centrales, dont le gouverneur de la Banque du Canada, Gerald Bouey, se réunissent pour trouver une solution afin d’améliorer la stabilité du système bancaire international. Il leur faut plus de cash. Le groupe des «groupe des dix plus grands pays riches» (G10) crée donc le Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. De cette réunion sort ce consensus machiavélique:
    «Pour financer ses activités, le Canada devra cesser d’emprunter de l’argent à sa propre Banque centrale du Canada (publique) et devra commencer à emprunter à des banques (privées).»
    En 1974, Pierre Elliott Trudeau, en compagnie de son ministre des finances John Turner, accepte la proposition du G10. À partir de 1974 pour financer ses infrastructures, le Canada fait le choix «stupide» d’emprunter à des créanciers privés. En clair, dorénavant les intérêts payés sur la dette ne retournent plus dans les coffres du gouvernement, mais bien à des intérêts privés.
    «Pierre-Elliott Trudeau a fait la folie de déléguer la souveraineté monétaire du Canada à un groupe de banquiers privés internationaux. Scandale»
    Les grands projets sont remplacés par «il faut payer des intérêts sur notre dette»
    Avant 1974, nous construisions des égouts, des boulevards et des ponts. Aujourd’hui, on peine à «patcher » les nids de poule qui sillonnent nos routes. Qu’a-t-on construit d’extraordinaire depuis 42 ans qui justifie une augmentation accélérée de notre dette de plus de 3000 %? La réponse: absolument rien. Nada. Niet. Nothing.
    Avant 1974, nous empruntions à une banque publique, ce qui ajoutait des revenus dans les coffres de l’État, de la même façon qu’Hydro-Québec et la SAQ versent un dividende au gouvernement québécois. Aujourd’hui, chaque fois qu’on construit un pont, ton banquier s’enrichit.
    Pourquoi le gouvernement a de moins en moins d’argent?
    Parce que les banquiers ont de plus en plus d’argent. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. En 2014-2015, les intérêts payés sur la dette canadienne ont dépassé 60 milliards de dollars, un record. Pendant ce temps en 2015 les banques canadiennes ont engrangé un bénéfice net record de près de 35 milliards de dollars . Coïncidence?
    Voguer de record en record
    Depuis 42 ans, sous le couvert du mot dette, vos taxes et impôts sont détournés, de plus en plus, dans les coffres des grandes banques d’ici et d’ailleurs.
    «Si le peuple comprenait notre système bancaire et monétaire, il y aurait une révolution avant demain.» – Henry Ford
    La solution
    Le gouvernement doit cesser d’emprunter auprès des banques privées et il doit recommencer à emprunter, virtuellement sans intérêt, auprès de la Banque Centrale du Canada.
    En d’autres mots, à chaque fois qu’on te parle de la dette du Québec ou de celle du Canada la solution est simple: Back to the past!
    Source :
    https://quebec.huffingtonpost.ca/dominic-goulet-lapointe/cadeau-empoisonne-des-trudeau_b_12689064.html
    En fin de compte la réinitialisation ne sert qu’aux multi millionnaires, à l’establishment, aux banquiers internationaux privés. Comment doit-on nommé un tel état de fait?
    C’est de l’aveuglement volontaire…de nos partis politique…de nos élus.

    Un reset de nos dettes, doit être conditionnel à du : sans intérêt, et réacheminer la création de la monnaie .à qui il appartient, c’est-à-dire le peuple.

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  2. Face caché de notre dette odieuse..
    Dette odieuse, c’est quoi?

    Dans de nombreux pays, une dictature a laissé en héritage une dette colossale. Cette dette odieuse, qui a servi à renforcer et enrichir un régime despotique, n’a pas à être remboursée par les populations meurtries par ce même régime. A travers 4 pays emblématiques, Frédéric Chauvreau et Damien millet nous font suivre 4 destins pétris de révolte et d’espoir. Le vieux congolais, la danseuse indonésienne, la mère irakienne, le jeune argentin incarnent les ravages d’une dette odieuse. Depuis le début des années 1980, le mécanisme de la dette permet au fonds monétaire international, à la banque mondiale et à quelques grandes puissances d’exercer une domination implacable sur des milliards d’hommes et de femmes dont les droits fondamentaux sont bafoués. Dès lors, l’annulation totale et inconditionnelle de la dette du tiers monde constitue le premier pas indispensable vers la construction d’un monde soucieux d’égalité, de fraternité et de justice. Pour la première fois, une bande dessinée aborde un axe majeur de ce combat : la dette odieuse.

    http://www.cadtm.org/Dette-illegitime-et-dette-odieuse

    http://dictionnaire.sensagent.leparisien.fr/Dette%20odieuse/fr-fr/

    http://www.cadtm.org/Dette-odieuse

    La dette que nous avons est une dette odieuse, et cette nous n’en sommes pas redevable …

    La dette odieuse est une jurisprudence[1] avancée par certains auteurs en matière de droit international relative à une dette contractée par un régime, et qui sert à financer des actions contre l’intérêt des citoyens de l’État et dont les créanciers avaient connaissance. On parle aussi de « dette odieuse » lorsqu’elle a été contractée par une dictature et qu’elle doit être remboursée lors de la transition démocratique.
    Dans cette optique, ces dettes sont considérées comme des dettes du régime qui les a contractées, et non pas de l’État en entier.

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