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Synopsis :
Le passage de 2020 à 2021 n’a pas vraiment transformé Olivier Delamarche.
Le fondateur de « Triskelion Wealth Management » campe sur ses positions : la crise est loin d’être achevée et les mauvaises nouvelles vont commencer à tomber. Pour autant, Olivier Delamarche voit mal la bulle boursière éclater dans le contexte actuel… à moins que….
Une interview où le co-fondateur des « Econoclastes » parle des banques centrales bien sûr, de la déraison des marchés ainsi que de sa stratégie d’investissement dans un environnement à ses yeux éminemment risqué.
Vidéo :
[1] Delamarche : les vrais problèmes arrivent – Sicavonline / YouTube
Photo :
Pour illustration
Aphadolie 
J’ai arrêté de le suivre, comme d’autres « alarmistes » qui crient ATTENTION à toutes leurs interventions depuis des années… prévenir c’est bien, à chacun de trouver les solutions qui leurs conviennent!! Car attendre que tout s’écroule pour pleurer c’est pas mon truc!! Je fais parti de la « génération désenchantée »… à l’école déjà, on nous prévenait que la retraite ne sera pas pour nous à cause de cette mondialisation et ce suicide en avant marche forcée!! Ca fais une dizaine d’année que je préviens autour de moi ce qu’il se passe en ce moment… On me disait « n’importe quoi!!! » Ces mêmes personnes me contacte depuis un an paniqués!! LOL
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…Je valide pleinement car je suis passé par ce que tu décris. Pour ma part, j’avais commencé à informer au milieu des années 80 (différents thèmes / Pas que sur le mondialisme). Je suis passé tous les noms de sobriquet ; sauf qu’avec du recul, ces mêmes personnes, tout comme toi, me contacte très souvent et… pour certains assez paniqués.
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Il a évidement raison mais je trouve, pardon, qu’il devrait mettre ses connaissances à proposer des solutions plutôt qu’à critiquer et se montrer le chantre du bon capitaliste propre et sain que tous les spéculateurs se disent être depuis plusieurs générations. Il faudrait un peu plus d’imagination sur les solutions plutôt que sur les catastrophes prévisibles dans lesquelles ces grands cerveaux nous précipitent le sourire aux lèvres…
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Le problème est le suivant Pat : il proposait des solutions lorsqu’il était chez BFM Business parce qu’il avait une plus grande audience. D’ailleurs, ils l’ont viré pour cela. A ce jour, il n’a plus le même auditoire et doit être très synthétique car il s’adresse en premier lieu à un public qui connait la problématique. La majorité préférant d’autres sujets. Et le temps est compté…
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