Covid-19 | Vaccins ARNm : Pr Christian Perronne, Pr Luc Montagnier, Pr Alexandra Henrion-Caude au Parlement du Luxembourg

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Le Pr Christian Perronne est un médecin et professeur des universités-praticien hospitalier français. Il est spécialisé dans les pathologies tropicales et les maladies infectieuses émergentes. Il a été président de la commission spécialisée « Maladies transmissibles » du Haut Conseil de la santé publique.

 

En 2004, il participe à une recherche sur un vaccin contre le virus H5N1 de la grippe aviaire.

 

Professeur de maladies infectieuses et tropicales à l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines, il est chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches jusqu’en décembre 2020.

 


 

Le Pr Perronne a été invité à s’exprimer au Parlement du Luxembourg — comme le Pr Luc Montagnier, prix Nobel, la généticienne Alexandra Henrion-Caude. Le journal Luxembourg Wort a conclu de l’intervention de Christian Perronne qu’il n’a pas permis de dissiper l’odeur de soufre planant sur ce 48e débat public — sous-entendant assez de ces débats inutiles !

 

 

En effet, comment lutter par la parole et les arguments scientifiques contre des médias recevant des millions d’aides de l’État ? Le Luxembourg Wort a reçu 1 600 000 euros entre 2003 et 2019. Il fait partie du groupe Mediahuis, l’un des plus grands groupes de médias d’Europe. Il ne devrait pas avoir besoin de subventions pour survivre. Est-ce le prix d’une orientation rédactionnelle favorable aux grands groupes pharmaceutiques ? La réponse est dans la question.

 

Le Pr Christian Perronne s’est présenté comme ayant présidé la Commission des maladies transmissibles, du Haut conseil de la santé publique, conseillé pendant quinze différents gouvernements sur la gestion des crises sanitaires, présidé le Comité technique des vaccinations du gouvernement français.

 

Il a continué en faisant un état des lieux de la gestion de la crise sanitaire en France : manque d’études scientifiques dans les décisions des autorités médicales, conflits d’intérêt, fraudes…

 

-. En deux ans le gouvernement français a donné trois milliards d’euros aux médias.

 

-. Les injections ne sont pas des vaccins sans effets sur la transmission du Covid. Il n’y a pas de morts, d’ailleurs les chiffres des tests PCR ont été gonflés, les chiffres des décès aussi.

 

-. Il faut dix ans pour qu’un vaccin soit autorisé, surtout chez une femme enceinte. Ces produits sont encore expérimentaux. Tout parlementaire qui vote pour l’obligation d’un traitement expérimental devrait être poursuivi.

 

-. Il y a plus d’enfants qui meurent de cardiopathie après vaccination qu’il n’y en a qui meurent du Covid.

 

-. L’EMA ne connaît pas la composition des vaccins qu’elle a autorisés et qui ont causé 36 000 morts en Europe et 25 000 aux États-Unis.

 

-. Les pays qui ont arrêté la vaccination ou ne l’ont pas appliquée n’ont plus d’épidémie.

 

-. Il existe des traitements efficaces qui rendent les vaccins inutiles et illégaux.

 

 

Le Luxembourg Wort conclut : « Autant de propos et tentatives de convaincre qui n’ont guère porté auprès des députés présents et de la ministre de la Santé. Une Paulette Lenert qui a reproché aux uns et aux autres de banaliser le virus et la pandémie. « Vous faites comme s’il s’agissait d’une petite grippe. Ce n’est pas le cas » », a rappelé la vice-Première ministre.

 

 

Les Luxembourgeois résistent pourtant victorieusement au terrible Omicron si on regarde les chiffres de la John Hopkins University. Nouveaux cas au 1er janvier 2022 : zéro (moyenne sur 7 jours 683). On compte 10 jours pour que les cas impliquent éventuellement des décès, mais non, rien à faire : décès au 12 janvier 2022 : zéro (moyenne sur 7 jours : un) ! [Voir graphiques ci-dessous] :

 

 

Luxembourg : nouveaux cas au 1er janvier 2022

 

 

Luxembourg : décès au 12 janvier 2022

 

 

Les arguments des scientifiques invités au parlement luxembourgeois n’ont, pas plus que les statistiques, empêché la vice-Première ministre, infectiologue bardée de diplômes en droit (dont droit des affaires…), de suivre les préconisations du Conseil supérieur des maladies infectieuses favorable à un schéma vaccinal à deux doses pour les jeunes de moins de 12 ans. Priorité devrait être donnée aux 5-11 ans vulnérables ou en contact avec des personnes fragiles. Pour leur bien.

 


 

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Titulaire d’un doctorat en génétique de l’université Paris-Diderot, ses recherches ont porté sur les maladies génétiques et sur l’ARN non codant.

 

Elle travaille comme neurobiologiste au Joslin Diabetes Center à la Harvard Medical School de Boston et au Salk Institute for Biological Studies.

 

Elle est directrice de recherche à l’Inserm de 2012 à 2018, en tant que chef d’équipe à l’unité 781. Elle découvre en 2012 l’implication d’ARN non-codants dans des maladies génétiques. Ses travaux concernent des maladies génétiques comme la mucoviscidose et le syndrome Ravine. Elle est l’un des 22 lauréats des Eisenhower Fellowships en 2013.

 


 

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Le professeur Luc Montagnier est biologiste et virologue.

 

Entré au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) en 1960, dont il deviendra plus tard directeur émérite de recherche, il a été professeur à l’Institut Pasteur, où il a dirigé l’unité d’oncologie virale de 1972 à 2000, professeur et directeur du Centre de biologie moléculaire et cellulaire au Queens College de l’université de la ville New York, avant de prendre la direction d’un institut de recherche à l’université Jiao-tong de Shanghai. Il est membre de l’Académie des sciences et de l’Académie nationale de médecine.

 

Avec Françoise Barré-Sinoussi et Harald zur Hausen, il reçoit le Prix Nobel de physiologie ou médecine de 2008, pour la découverte, en 1983, du virus de l’immunodéficience humaine (VIH) responsable du syndrome d’immunodéficience acquise (sida).

 


 

Source :

https://www.chd.lu/ArchivePlayer/video/3523/sequence/191533.html

https://lemediaen442.fr/le-pr-perronne-recu-au-parlement-du-luxembourg-pour-debattre-sur-vaccination-contre-la-covid-19/

 

Article :

Le Média en 4-4-2

 

Vidéo :

[1] Pr Christian Perronne (Professeur de maladies infectieuses et tropicales) – Chambre des députés du Luxembourg – Mercredi 12 janvier 2022

[2] Pr Alexandra Henrion-Caude (Généticienne) – Chambre des députés du Luxembourg – Mercredi 12 janvier 2022

[3] Pr Luc Montagnier (biologiste virologue) – Chambre des députés du Luxembourg – Mercredi 12 janvier 2022

 

Photo :

Pour illustration

5 commentaires

  1. Bonjour,

    Ce que je n’ai pas compris c’est le port du masque pour Alexandra Henrion-Caude !

    et le pourquoi TOUTE la vérité disponible n’est pas dite ! (le poison mortel EST DANS la seringue pas à l’extérieur !). Un virus EST UNE POUSSIÈRE et non un vivant (microbe). Il existait des poussière mortelles (radioactives/Becquerels), il existe désormais (depuis 2 ans) des poussières intelligentes (fabriquées en laboratoires) appelées sous divers noms plus idiots les uns que les autres. Pourquoi ne parle t-il pas d’antidote ?
    95 à 99 % du contenu d’un flacon ou seringue se compose de nano-poussières d’oxyde de graphène.

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