Crise Russie-Ukraine : le rouble devait s’effondrer. C’est l’euro qui s’effondre ! – Charles-Henri Gallois, Président Génération Frexit

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Synopsis vidéo :

Le rouble devait s’effondrer d’après Bruno Le Maire début mars. C’est l’euro qui s’effondre.

 

Saluons ce génie de l’économie.

 

Le 24 mars, Emmanuel Macron expliquait que la Russie était en cessation de paiement. Un mois plus tard, on peut dire que le Mozart de la finance est un gros nul en économie couplé d’un mythomane. C’est plutôt le Beethoven de la dette !

 

C’est un risque énorme d’avoir de tels incapables aux finances dans une période si troublée.

 

L’UE va une fois de plus ruiner l’Europe avec la folie sur le gaz. Condamner l’invasion en Ukraine, oui.

 

Se suicider économiquement et faire souffrir nos populations, non.

 


 

Ursula von der Leyen, Présidente de la Commission européenne et Volodymyr Zelensky, Président de l’Ukraine

 

 

« Ursula von der Leyen défend même plus les intérêts américains, c’est un peu l’historique dans sa famille, que les intérêts allemands ou européens et c’est finalement la plus va-t-en-guerre. »

 

« Elle s’est permise de décider de livraison d’arme à l’Ukraine hors de tout traité et mandat, c’est une sorte de coup d’État… »

 

 

Charles-Henri Gallois, Président du Mouvement « Génération Frexit »

 


 

A propos de Charles-Henri Gallois :

Charles-Henri Gallois est diplômé de l’École de management de Lyon en spécialité « Finance ». Il est actuellement Président du Mouvement « Génération Frexit ».

 

Avant de se rendre compte que l’Europe ne tenait pas ses promesses, Charles-Henri Gallois était pro-européen. Il reste attaché aux autres peuples européens qu’ils soient ou non dans l’Union européenne. Mais il ne pense pas qu’une gouvernance supranationale serve l’intérêt des peuples qui la composent et il l’explique de manière très factuelle lors de ses conférences ou interventions auprès des médias.

 

Pour Charles-Henri Gallois les arguments des défenseurs de la construction européenne ne sont pas toujours objectifs. Il met en doute le fait que l’Union européenne finance des projets en France, car, selon lui, la France est contributeur net au budget de l’UE ce qui signifie au contraire que sans cette appartenance à l’UE, la France aurait en moyenne depuis 2011 un budget de 8 milliards d’euros supplémentaires pour financer ses propres projets. En 2016, par exemple, la France a contribué à hauteur de 20 milliards d’euros et n’a reçu en retour des financements qu’à hauteur de 11 milliards d’euros.

 

Pour Charles-Henri Gallois, l’euro ne fonctionne pas et ne peut pas fonctionner. Pour qu’une zone monétaire soit viable il faut qu’elle soit homogène et en particulier qu’un sentiment d’appartenance à un même peuple permettent aux régions les plus riches de se sentir solidaires des régions les plus pauvres. Il prend deux exemples pour illustrer son propos : au moment de la réunification, l’Allemagne de l’Ouest a accepté de payer pour l’Allemagne de l’Est parce que la RFA à l’époque et la RDA ne formaient qu’un seul et même peuple. En revanche au moment de la crise grecque, la même Allemagne n’a pas accepté de solidarité avec le peuple grec. Au final, il pense que l’euro est inutile et dangereux.

 

Sur l’Union européenne, il a un avis euro critique comme beaucoup d’observateurs, d’analystes ou d’hommes politiques français qui pensent que nous devons changer l’Europe. Mais il va plus loin. Il recherche la cause des dysfonctionnements et constate qu’ils sont liés à la construction même de l’Union européenne conçue pour ne pas être radicalement réformable. Il évoque l’article 48 du Traité sur l’Union européenne qui impose que toute modification des traités requiert une double unanimité : celle des 27 chefs d’États et la ratification des 27 parlements nationaux. En conséquence de quoi il prône le Frexit comme viennent de le faire les Britanniques avec le Brexit.

 

Depuis 2016, et le référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’Union européenne, Charles-Henri Gallois suit les évolutions de la situation économique au Royaume-Uni. Son regard iconoclaste lui vaut d’être interviewé par des médias Français et étrangers pour apporter un éclairage inhabituel sur une situation moins catastrophique que certains économistes ne nous le laissaient entrevoir.

 

Cette conférence s’articule en 3 chapitres essentiels : les illusions économiques de l’Union européenne, les illusions économiques de l’Euro, et les illusions économiques du libre-échange.

 

Il adhère à l’UPR en 2012 et devient son trésorier et responsable national pour l’Économie. Il a été candidat aux élections européennes de 2014 et 2019, aux élections législatives de 2017 dans la première circonscription de la Nièvre et tête de liste aux élections régionales de 2015.

 

Il soutient François Asselineau à l’élection présidentielle française de 2017.

 

En 2019 il sort son livre « Les Illusions économiques de l’Union européenne » reprenant l’essentiel de sa conférence éponyme. Sur la quatrième de couverture, il nous donne sa conviction sur l’Union européenne :

 

« J’étais pro-européen comme tout le monde. Parce que c’est comme ça. Parce que l’on vous répète du berceau à la tombe que l’Union européenne est formidable. Parce que, aimant les autres peuples européens, l’idée d’une union pouvait paraître a priori sympathique, vue rapidement de l’extérieur. Parce que l’on vous répète que la France serait trop petite seule dans la mondialisation. Parce que l’Europe, c’est la paix. Parce qu’en sortir serait la catastrophe. Avec du recul et en creusant le fonctionnement de cette organisation politique, tous les arguments en faveur de l’UE sont pavloviens, basés sur des slogans et sur la peur. »

 

Il s’est rendu le 31 janvier 2020 à Londres à la soirée pour fêter le Brexit avec le groupe de défense d’intérêts « Leave Means Leave » et le parti du Brexit de Nigel Farage, trois ans et demi après le référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’Union européenne. Il considère que le Brexit est une bonne nouvelle pour le Royaume-Uni.

 

De la même manière que pour le Brexit, il pense que le choix du Frexit peut parfaitement se justifier économiquement mais qu’il s’agit avant tout d’un enjeu de démocratie.

 

Il est convaincu que l’Union européenne est anti-écologique ; que la politique agricole commune et les traités européens tuent l’agriculture ; qu’il faut se libérer du CETA.

 

Il pense aussi qu’il faut se libérer de l’Union européenne pour que la politique migratoire ne soit plus gérée par le traité d’Amsterdam (depuis 1999). De même, il pense qu’il faut se libérer de l’OTAN pour éviter les guerres illégales.

 

Il désapprouve le partage de l’arme nucléaire française avec l’Allemagne ou l’Union européenne.

 

Selon lui, il faut rétablir le contrôle des mouvements de capitaux et séparer les activités de banques d’affaires et de dépôt.

 


 

Source :

https://everybodywiki.com/Charles-Henri_Gallois

https://en.wikipedia.org/wiki/Ursula_von_der_Leyen

 

Vidéo :

[1] Gallois sur Radio Courtoisie : Le rouble devait s’effondrer. C’est l’euro qui s’effondre – Charles-Henri Gallois / YouTube

 

Photo :

Pour illustration

5 commentaires

    • Bonsoir,

      Je vous cite : « pourquoi n avez vous pas plus de possibilites de partages c est desolant de bloquer l information !!! »,

      …En bas de chaque article publié (tout en bas), vous avez plusieurs icônes de partage. Maintenant, il est juste que je n’ai pas de compte Facebook, Twitter, etc… (Sauf YouTube). Ce n’est pas par fénéantise mais parce que je suis seul à gérer le blog et que mon âge et ma santé ne me permettent pas de faire plus.

      Je suis le premier qui souhaiterais que l’information se diffuse d’avantage mais comme mentionné ci-dessus, je ne peux faire plus, hélas.

      Je compte donc sur mes abonnés pour rebloquer ou publier mes articles sur les autres plateformes mais je ne peux leur imposer.

      Je vous remercie pour votre visite et commentaire.

      Cordialement.

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