Les moustiques génétiquement modifiés (OGM) vaccinent maintenant secrètement les gens

 

Une nouvelle étude publiée dans la revue « Science Translational Medicine » [1] révèle que Big Pharma utilise désormais des insectes pour administrer des « vaccins » aux humains à leur insu et sans leur consentement.

 

Pour leur essai, les chercheurs ont équipé artificiellement 200 moustiques de parasites plasmodium vivants, responsables de la malaria (Ndlr : appelé également paludisme), qui avaient été génétiquement modifiés (OGM) afin d’injecter un vaccin contre la malaria dans le bras de sujets humains.

 

 

Le bras de Carolina Reid gonfle après avoir été piqué par 200 moustiques à la fois afin de recevoir une dose de vaccin expérimental contre la malaria.

 

 

L’objectif déclaré du projet est d’administrer des vaccins par le biais d’insectes plutôt que par des seringues traditionnelles, dans ce cas avec des moustiques OGM qui seront relâchés dans la nature pour injecter les poisons au hasard à un maximum de personnes. (Voir aussi en fin d’article : À partir de 2020, un projet de deux ans, soutenu par Bill Gates, a commencé à libérer plus de 750 millions de moustiques OGM dans l’ensemble des Keys de Floride).

 

« Nous utilisons les moustiques comme s’il s’agissait de 1 000 petites seringues volantes », se vante le Dr Sean Murphy, médecin et scientifique de Seattle, principal auteur de l’article publié le 24 août.

 

 

Seattle, soit dit en passant, est la ville où vit Bill Gates, ainsi que Microsoft, une société multinationale qu’il a contribué à co-fonder. En d’autres termes, il n’est guère surprenant que l’essai ait eu lieu dans cette ville.

 

 

Un moustique OGM a rendu un participant malade de la malaria, ce qui était censé être impossible

Selon les scientifiques concernés, les parasites plasmodium OGM transmis par les moustiques modifiés ne sont pas infectieux. Cela signifie qu’ils ne rendent pas les gens malades, soi-disant, mais que leur corps crée des anticorps contre une forme « affaiblie » de malaria.

 

Comme d’habitude, l’argument est que cette technologie est nécessaire pour « sauver des vies ». Il se trouve qu’il n’y a pas de consentement éclairé dans ce projet de droguerie de masse, que le Dr Sean Murphy affirme qu’il « ne prévoit pas d’utiliser … pour vacciner des millions de personnes. ».

 

La question demeure : le croyons-nous ?

 

Qui peut dire que ces moustiques OGM n’ont pas déjà été lâchés secrètement, par exemple dans les Keys de Floride, comme l’avait promis Gates lui-même ?

 

Et ce n’est pas parce que le Dr Murphy ne prévoit pas personnellement de vacciner en masse les gens avec des moustiques OGM que Gates ou quelqu’un d’autre n’en a pas l’intention.

 


 

Il est clair que ce type de science a une finalité, et cette finalité est pour le moins inquiétante.

 


 

Puisque des millions et des millions de personnes se rendent compte de l’escroquerie des vaccins, en grande partie grâce à l’escroquerie du Covid, la folle science de la Fondation Gates développe d’autres moyens de vacciner discrètement et de façon anodine les gens sans qu’ils sachent qu’ils ont été vaccinés.

 

C’est le mal à l’état pur, et c’est exactement le genre de choses que nous attendons des gens comme Gates, qui vit pour vacciner.

 

En parlant de Gates, cet homme, via sa fondation « à but non lucratif », a dépensé des milliards au cours de la dernière décennie pour développer, vous l’aurez deviné, un nouveau vaccin contre la malaria. Comme nous l’avons déjà mentionné, Gates a ensuite lâché près d’un milliard de moustiques OGM dans les Keys (Floride) pour tester le projet.

 

L’une des participantes à ce nouvel essai, Carolina Reid, affirme avoir été testée positive à la malaria pendant l’étude, même s’il était censé être impossible que les insectes contaminés rendent l’un des participants malades.

 

« J’ai pleuré quand on m’a dit que j’avais la malaria parce que j’avais développé une relation très étroite avec les infirmières », a déclaré Carolina Reid, qui a été payée 4 100 dollars pour sa participation, ajoutant « qu’elle voulait vraiment, vraiment, terminer les essais mais qu’on lui a refusé. »

 

 

Dans la section des commentaires de « Health Impact News » [1], une personne a posé la question suivante :

« Comment combattez-vous la stupidité de cette femme et de beaucoup d’autres ? », en faisant référence à Carolina Reid.

 

« Vous ne le faites pas », a répondu une autre personne. « C’est une perte de temps. Essayez simplement d’avertir les autres. »

 

 

Les derniers reportages sur l’assaut des OGM, jusqu’aux insectes, peuvent être consultés à l’adresse suivante GMO.news.

 

Ethan Huff

 


 

Source :

https://gmo.news/

https://citizens.news/661591.html

https://cerid.uw.edu/faculty/sean-c-murphy-md-phd

https://naturalnews.com/2020-08-24-gmo-mosquitoes-released-over-florida-keys.html

https://cogiito.com/a-la-une/les-moustiques-ogm-vaccinent-les-gens-desormais-secretement-et-sans-leur-consentement/

https://www.npr.org/sections/goatsandsoda/2022/09/21/1112727841/a-box-of-200-mosquitoes-did-the-vaccinating-in-this-malaria-trial-thats-not-a-jo

 

Article :

Ethan Huff / Citizens News

Traduit par : Cogiito

 

Référence :

[1] https://healthimpactnews.com/2022/study-genetically-engineered-mosquitoes-used-to-inject-vaccines-into-humans/

 

Voir notamment :

USA | Floride : les autorités vont lâcher 750 millions de moustiques génétiquement modifiés dans la nature [Vidéo]

 

Photo :

Pour illustration

4 commentaires

  1. C’est effrayant, une société qui n’exerce pas son droit de choisir est une société perdue… De plus, outre le consentement éclairé bafoué, lesdits moustiques piqueraient sans discernement… Au secours !

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    • Bonsoir Christine,

      Désolé de répondre que ce jour.

      Je te cite : « lesdits moustiques piqueraient sans discernement »,

      Réponse : Sauf dont ceux qui possèdent un marqueur génétique spécifique (pour les protéger).

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