Allgood Sara (1879-1950)
Sara Allgood nait le 31 octobre 1879 à Dublin, en Irlande.
Sa sœur est l’actrice Maire O’Neill (1885-1952).
À la scène, Sara Allgood créa le très grand rôle de Junon et le paon de Sean O’Casey, entourée de la troupe du prestigieux Abbey Théâtre irlandais qu’elle avait intégré en 1904.
En 1916, elle se marie avec Gerald Henson jusqu’à son décès de la grippe en 1918. Ils eurent une fille qui mourut de la grippe en 1917.
Sous la direction d’Alfred Hitchcock, elle débute à l’écran en 1929, dans le rôle de la mère de l’héroïne criminelle de « Chantage ». Elle gagna les États-Unis au début de la Seconde Guerre Mondiale et s’y affirma une admirable actrice de composition de gouvernante ou de domestique stylée mais maternelle qu’elle a estampillées de sa silhouette rebondie qui est devenue si familière.
Bien qu’elle demeure une actrice de second plan, elle a néanmoins participée à l’élaboration de grands films comme « Jane Eyre » (1944) avec Orson Welles et Joan Fontaine, « Les Clefs Du Royaume » (1943) avec Gregory Peck, « La Duchesse Des Bas-Fonds » (1945) avec Paulette Goddard, « La Folle Ingénue » (1946) avec Charles Boyer et Jennifer Jones, « Ivy Martha Hunley » (1947) avec Joan Fontaine, « Mother Wore Tight » (1947) avec Betty Grabble, « Morning Become Electra » (1947) avec Rosalind Russell, « Une Touche De Vénus » (1947) avec Ava Gardner, « The Girl From Manathan » (1948) avec Dorothy Lamour, « The Accused » (1949) avec Loretta Young et Robert Cummings et « Treize A La Douzaine » (1950) avec Myrna Loy et Clifton Webb.
En 1950, elle tourne dans son dernier film : « Sierra » avec Audie Murphy et Burl Ives.
Sara est décédée d’une crise cardiaque le 13 septembre 1950 à Woodhland Hills, en Californie.
Sara Allgood – How Green Was My Valley / Qu’elle était verte ma vallée (1941)
Source :
https://www.imdb.com/name/nm0021329/
https://en.wikipedia.org/wiki/Sara_Allgood
Ancien site web qui n’existe plus : http://vargen57.unblog.fr/
« Qu’elle était verte ma vallée », quel magnifique film. J’ignorais tout du drame qu’elle a elle-même vécu à cause de la grippe. Ce rôle dût la ramener à ce terrible moment.
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J’ai vu ce film dans mon enfance mais je ne m’en souviens quasiment plus.
Merci pour votre commentaire. La thématique intéresse au moins une personne 🙂
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Elle intéresse aussi bien d’autres sans doute, mais qui ne souhaitent pas commenter.
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Possible. J’ai trouvé cette thématique intéressante pour plusieurs raisons car plus on avance, plus on s’aperçoit que derrière la magie d’Hollywood, etc… Se ptofilait (se profile toujours) certaines idéologies, politique, propagande. Reste l’histoire de ces hommes et femmes qui n’est pas inintéressante en soi…
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Bonne idée de ressusciter toutes ces gloires passées ( que je ne connaissais absolument pas) juste à Pâques. clin d’oeil.
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Merci Pat.
Je ne sais pas si cela va captiver l’attention du public et si cela peut servir mais personnellement j’apprécie ce genre de publication. Peut-être une certaine forme de nostalgie.
Puis je compte m’en servir pour rebondir sur d’autres thèmes…
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Moi ça me rappelle aussi que l’on est peu de choses et qu’après seulement deux ou trois générations on a complètement disparu des mémoires.
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A part quelques cas… oui. Nous sommes que de passage et cela devrait nous rendre plus humble.
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A reblogué ceci sur Les pérégrinations de Liondors.
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