Modèle du crédit social chinois : le projet pour la France ?

 

Intelligence artificielle, identités numériques regroupées et vidéosurveillance : un projet de transformation numérique porté par l’État français, ou modèle de contrôle social de la population ?

 

Reconnaissance faciale, implant sous la peau et numérisation des données de santé : la porte ouverte à une société de surveillance continue ?

 

 

L’identification de la population

Tout indique que la reconnaissance faciale semble destinée à venir compléter l’identité numérique : Alicem, c’est l’application pour smartphone développée par le ministère de l’Intérieur et l’Agence nationale des titres sécurisés, autorisée par décret. Prototype en phase de test sur la plateforme « FranceConnect », il permettra à tout particulier de prouver son identité par reconnaissance faciale.

 


 

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Lancée par l’État, « Alicem » est une application mobile utilisant la reconnaissance faciale. Elle doit permettre aux Français de se connecter à tous les services administratifs en ligne. Une sorte de sésame numérique permettant d’accéder à des sites à forte identification. Pour l’utiliser, il faut connecter l’appli au passeport. Lors de l’inscription, l’utilisation est invitée à scanner son passeport et à tourner une courte vidéo. Une démarche qui suscite l’inquiétude des défenseurs de la vie privée.

 


 

« La première expérimentation d’un service plus large d’identité numérique en cours de conception dans le cadre du programme interministériel », peut-on lire sur le site web officiel du ministère de l’Intérieur. Invité de l’émission « Le temps du débat » de France Culture, Olivier Tesquetjournaliste spécialiste des questions numériques à Télérama, parle du fantasme des forces de police d’un contrôle d’identité permanent.

 

Une vidéosurveillance intelligente : « La reconnaissance faciale est une technologie policière. Quand on a inventé la reconnaissance faciale, on l’a inventée à des fins d’identification des personnes, pour des enquêtes criminelles, pour du renseignement. » 

 

 

Vers un modèle chinois ?

Dans l’empire du Milieu, on acquiert son statut de citoyen modèle par un système de points, attribués selon ses bonnes ou mauvaises actions. En traversant la route au bon moment ou en payant ses factures, on s’assure un crédit exemplaire. Et la liste des actions à mener est longue pour qui aspire à conserver un statut de citoyenneté honorable ou, au contraire, se voir rétrogradé.

 

Selon un article de France Culture : « Le crédit social repose sur la collecte d’une myriade de données sur les personnes et les entreprises, de leur comportement dans les transports en commun à leur moralité sur les réseaux sociaux ».

 

…Une surveillance de chaque instant de la vie.

 


 

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En Chine, les autorités utilisent la reconnaissance faciale à grande échelle et la combinent à un système de notation. C’est le système du « crédit social ». Des points sont accordés aux « citoyens modèles », qui bénéficient d’avantages dans les services publics, tandis que les mauvais élèves, auteurs d’incivilités ou de critiques à l’encontre du régime, se voient privés de certains droits et inscrits sur une liste noire.

 


 

À l’occasion de ses vœux 2022 aux Français, Emmanuel Macron insistait sur la responsabilité de chacun, principalement en se faisant vacciner : « Être un citoyen libre, et toujours être un citoyen responsable pour soi et pour autrui. Les devoirs valent avant les droits. »

 


 

Modeler des citoyens de qualité 

 

 

L’itinéraire bien huilé de l’État français pour amorcer une forme de crédit social, à l’image du climat de contrôle des autorités chinoises.

 

Une dystopie à la française ?

 


 

Alicem : L’application de reconnaissance faciale du ministère de l’Intérieur

 


 

Source :

https://www.nexus.fr/actualite/news/credit-social-chinois/

https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000038475477/

https://www.interieur.gouv.fr/actualites/actu-du-ministere/alicem-premiere-solution-didentite-numerique-regalienne-securisee

https://mobile.interieur.gouv.fr/fr/Actualites/L-actu-du-Ministere/Alicem-la-premiere-solution-d-identite-numerique-regalienne-securisee

https://www.selene-avocats.fr/publications-activites/2707-lusage-dalicem-valide-par-le-conseil-detat-laurent-archambault-cassandra-rotily/

 

Article :

Nexus

 

Vidéo :

[1] Alicem : une application controversée – BFMTV / YouTube

[2] Avec le « crédit social », la Chine classe les « bons » et les « mauvais » citoyens – FRANCE 24 / YouTube

 

Photo :

Pour illustration

2 commentaires

  1. La soi-disant « pandémie » du C.O.V.I.D-19.

    Le virus à l’origine de la « pandémie » est né d’un coronavirus artificiel élaboré au laboratoire P4 de Wuhan, détonateur de la bombe biologique voulu par politiques et industriels français qui ont œuvré à sa construction. Ce coronavirus a gain de fonction a été financé par les États-Unis. Cela démontre que la Chine élabore des armes biologiques, classées dans les armes de destruction massive.
    Ce virus a provoqué une épidémie à Wuhan, que la Chine a dissimulée aussi longtemps que possible, tout en protégeant son peuple ; mais aussi en indiquant au monde entier la victoire de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine sur ce virus ; toutefois, la Chine a autorisé des gens contagieux à partir vers le reste du monde sans le dire aux pays destinataires ; cela constitue un acte de guerre biologique soit un crime contre l’humanité.
    L’Organisation Mondiale de la Santé, a caché ce qu’elle savait. Quand elle a dit la vérité, elle a publié des chiffres de létalité très excessifs, et a délibérément provoqué une vague de terreur mondiale en qualifiant la maladie de « pandémie ». Cette panique provoquée constitue une guerre psychologique contre le monde entier.
    L’effroi a conduit la plupart des pays occidentaux à prendre des mesures destructrices pour leurs économies et pour leur peuple, et à passer, à des degrés divers, à des administrations de type autoritaire à l’image de la Chine.
    Les destructions économiques ont été largement camouflées dans les pays occidentaux par un recours massif à l’émission de monnaie, annonciatrice d’inflation soit un appauvrissement des classes moyennes au profit des riches et ultra riches.
    La France a été le pays occidental le plus atteint avec plus de huit pour cent de récession. Le confinement a été sanitairement nocif et a accru les contagions, tout en occasionnant l’essentiel des ravages économiques et psychologiques surtout pour les enfants et les adolescents. Le port du masque étant le marqueur de la peur et de la soumission d’un peuple avec l’aide opportune d’une sur-médiatisation excessivement angoissante.
    Tous les effets de cet affolement auraient pu être rigoureusement évités.
    Bizarrement, les médicaments qui soignent ont été interdits, avant même le début de la crise et leur efficacité est encore très largement occultée par, soi-disant, manque d’essais en double aveugle pour ce nouveau virus. La combinaison Hydroxychloroquine, Azithromycine, Zinc, Vitamines C et D, Acide acétylsalicylique (Aspirine) ; l’Ivermectine administrée au début de la maladie réduisent considérablement les conséquences néfastes des malades infectés.
    Jamais depuis plus de deux mille ans, des médecins ne se sont vu interdire, par une autorité politique, de prescrire des médicaments qui soignent. Cela signifie que les malheureux individus tombés malades ont été laissés chez eux, sans soins, avec juste du paracétamol (non testé en double aveugle pour ce nouveau virus), jusqu’à leur hospitalisation lorsque leur état empirait gravement.
    Jamais des revues de médecine prétendument réputées, publiant des études frauduleuses, n’étaient devenues à ce point des instruments de propagande.
    Jamais les plus grands épidémiologistes du monde n’ont été autant vilipendés. Les médias ont aussi contribué à la diabolisation des médicaments qui soignent, ce qui en a fait des complices actifs des autorités politiques.
    Les conséquences sont incommensurables et ont profondément dégradé la confiance en la science et en la médecine, qui ont subi une politisation à outrance, à laquelle s’est ajoutée une corruption protéiforme, faisant que nombre de médecins et de dirigeants politiques au plus haut niveau ont été pervertis par les grands laboratoires pharmaceutiques.
    Les hôpitaux, médecins, maisons de retraite ont été encouragés financièrement par les autorités pour classer chaque décès positif à cette maladie appelée par l’OMS COVID-19, en décès COVID-19. Cela a nettement accru le nombre de morts publié, rendant biaisé toute statistique digne de ce nom, tout en accroissant la peur des populations ; (ne pas oublier que C.O.V.I.D. est l’acronyme anglais de Certificate Of Vaccination IDentity…. ou en français : Certificat d’identité vaccinale).
    Le taux de létalité du COVID-19 se situe peu ou prou, à la hauteur d’une grippe saisonnière, et si des médicaments qui soignent précocement avaient pu être utilisés, la maladie n’aurait presque pas été détectable. Cela est démontré par les statistiques des morts toutes cause, entre les décès de 2020 comparée aux décès des trois années précédentes, où est cette soit disant « pandémie » ? Une menace fantôme, destinée à cacher d’autres objectifs ? Un traçage numérique ?
    Les « vaxxins, expérimentation génique inédite » ont été décrits comme le seul remède miracle ; la vaccination présentée comme « l’unique moyen » de recouvrer la santé en passant sous silence les traitements précoces. L’obligation vaccinale ne pouvant être imposée dans la mesure où tous ces « vaxxins » étaient en phase expérimentale 3, les gouvernements occidentaux ont conçu simultanément, des passeports vaccinaux, destinés à faire des personnes refusant le « vaxxin » des exclus ne devant plus mener une existence normale. Pourquoi ? Mettre en place un futur système de «notation sociale» des citoyens à l’instar de la Chine ?
    Depuis, il est démontré désormais que les « vaxxins » n’empêchent pas du tout d’être contaminé par des variants et n’empêchent pas non plus d’être contagieux, ils ne servent donc à rien médicalement parlant. De plus, leur efficacité décroît et disparaît complètement en environ quatre mois, ce qui implique trois injections par an à vie, soit une rente éternelle pour l’industrie pharmaceutique.
    Et comme cela ne suffisait pas pour se poser les bonnes questions, des effets secondaires graves bien plus importants que pour d’autres vaccins sont apparus. Aux USA, en six mois d’injection des « Vaxxins » au premier semestre 2021, il y a eu neuf fois plus d’effets secondaires graves que pendant les trente et un ans d’injection des vaccins contre la grippe saisonnière, soit plus 500 fois plus ! On a suspendu des campagnes de vaccination pour bien moins que cela. Pour le COVID-19, rien ! et cela ne dérange personne.
    La pandémie et sa gestion dictatoriale ont servi à accroître l’emprise planétaire de la Chine au service d’une grande réinitialisation à la chinoise, la docilité du peuple chinois faisant rêver bien des dirigeants occidentaux.
    Les victimes sont les peuples du monde entier et les chinois déjà soumis. Sans oublier, les vaxxinés d’aujourd’hui et de demain victimes d’effets secondaires graves dont l’affaiblissement constaté de leurs immunités naturelles au fur et à mesure des injections.
    Les bénéficiaires sont les dirigeants politiques téléguidés qui régissent aujourd’hui la Chine, les États-Unis, la France, la plupart des autres pays d’Europe, mais aussi les grands laboratoires pharmaceutiques, tous ceux qui ont des intérêts dans les « vaxxins » et toutes les entreprises multinationales qui ont des liens si étroits avec la Chine, qu’ils constituent à eux seuls, un crime de Haute Trahison. À cette liste il convient de rajouter les médias de propagande honteusement subventionnés par des ONG qui se définissent comme des philanthropes…pour acquérir de plus en plus de pouvoir au détriment des peuples.
    Des scénarios prévoyant une grande pandémie et l’utilisation de celle-ci pour se diriger vers une destruction mondiale des libertés et vers la soumission des peuples à une « classe sociale liée aux États et bénéficiant d’importants privilèges (nomenklatura) » ont été élaborés, il y a plusieurs années.
    Ce qui se passe ressemble bien à leur mise en œuvre.
    Malheureusement, en ce quatrième trimestre 2021, on constate un excès anormal de mortalité bien plus important qu’au printemps 2020. À l’époque, on accusait le COVID-19 ! Qu’est-ce qui tue désormais les moins de quarante ans, et pourquoi personne n’en parle ? Pourquoi une surmortalité toutes causes dans les semaines qui suivent l’appel du discours présidentiel du 12 juillet où il n’y avait pas de décès COVID-19 à ce moment-là ? Si le plan de la « nomenklatura » est de diminuer drastiquement la population mondiale, il se déroule sans accroc; sauf dans les pays autorisant tous les traitements précoces. A cet égard certains États en Inde et le Japon ont mis fin au COVID-19, après avoir arrêté le déploiement des « vaxxins » et être passés à l’Ivermectine et/ou aux traitements précoces.
    Demandez-vous qui seront les maîtres de demain ? Nous sommes déjà leurs esclaves numérisés depuis plus de six mois.
    Il est grand temps de se réveiller et de conduire sous bonne escorte, tous les bénéficiaires désignées et leurs commanditaires de la « nomenklatura » pour un deuxième procès à Nuremberg pour crime contre l’humanité.

    Le mercredi 26 janvier 2022 ; Xavier RENAUX (retraité)

    Références :
    Le livre ; COVID-19 Enquête sur un Virus de Philippe AIMAR ; aux éditions Le jardin des Livres 2021.
    Le livre ; Y a-t-il une erreur qu’ILS n’ont pas commise ? du Pr Christian PERRONNE ; aux éditions Albin Michel 2020.
    Le livre ; Chroniques du mondialisme (version revue et augmentée) de Philippe HILLARD ; aux éditions Cultures & Racines 2020
    Internet; https://reinfocovid.fr/; REINFO COVID TV, toutes les vidéos du « Conseil Scientifique Indépendant »
    Internet, toutes les vidéo « live » ; https://lesdeqodeurs.fr/

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