Dossier : Vaccins anti-Covid ARNm | WBAN : contrôle des populations via les nanoréseaux sans fils intracorporels injectés – Dr Laurent Aventin

 

Par : Laurent Aventin, PhD

 

Nous annonçons la sortie d’un nouveau dossier inédit de 53 pages intitulé « Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés ». Plusieurs équipes de chercheurs indépendants, issus de différentes disciplines ont fait depuis juin 2021 ce que les autorités sanitaires des pays occidentaux n’ont pas fait et n’ont pas voulu faire : observer à la microscopie et la spectroscopie le contenu des vaccins expérimentaux contre le Covid. Les nanotechnologies identifiées et leur analyse permettent de comprendre ce que l’industrie pharmaceutique et ceux qui agissent en sous-main veulent faire des citoyens.

 

 

L’opinion publique est peu informée sur les possibilités technologiques qui se présentent depuis 15 ans et qui ont permis d’investiguer et de contrôler non pas l’espace, ni les profondeurs de la mer mais le corps humain et particulièrement le cerveau grâce aux nanobiotechnologies.

 

 

 

 

Des nanotechnologies dans les 4 vaccins

Les récentes découvertes (2021-2022) par l’observation et l’analyse indépendantes des sérums vaccinaux par des biologistes mais aussi des chimistes, des spécialistes des nanotechnologies ou des biotechnologies, des experts de la bioinformatique, des télécommunications sans fil, des nanoréseaux ou de l’internet des objets, nous conduisent à comprendre progressivement ce qu’ils envisagent et ont commencé à faire avec les citoyens, partout dans le monde. Ce nouveau dossier fait un état des lieux sur ce que nous savons aujourd’hui.

 

Parce que j’ai été confronté à l’incrédulité de certains lecteurs à plusieurs reprises lorsqu’était évoqué un projet transhumaniste dans nos lignes, j’ai pris la décision d’investiguer le sujet et d’apporter les preuves scientifiques requises. Les travaux du Dr Campra, de Mik Andersen (pseudonyme) et d’autres équipes multidisciplinaires permettent d’avancer des preuves de ce qu’on observe dans les sérums vaccinaux des 4 produits ayant actuellement reçu une autorisation conditionnelle de mise sur le marché : Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson. La comparaison des résultats liés à l’observation des sérums avec des informations issues de publications scientifiques permet de comprendre et de reconstituer un puzzle qui s’avère lisible et inquiétant.

 

 

Des éléments de preuves accablants

Comme une majorité de lecteurs, je me suis demandé quelle pouvait être l’efficacité ou la nocivité de nanoparticules dans un organisme, l’efficacité de nanorouters ou de nanoantennes dans ce qui s’apparente à un nanoréseau de communications sans fil. Enfin, quelle influence peuvent avoir des nanotechnologies sur notre ADN (sujet abordé dans un article) et sur nos neurones ? Ce qui est proposé pourra laisser certains sans voix mais les preuves sont présentées dans ce dossier dont voici le sommaire :

 

 

Qu’a-t-on découvert d’illicite dans les « sérums vaccinaux » contre le Covid :

1.1 : Des nanorouteurs ou nanosenseurs.

 

1.2 : Des nano antennes et des nano antennes plasmoniques.

 

1.3 : Des nano antennes redresseuses.

 

1.4 : Des hydrogels pour nanotechnologies.

 

1.5 : Des codecs (codeurs-décodeurs) et des portes logiques.

 

1.6 : Oxyde de graphène.

 

1.7 : Les nanopoulpes de graphène ou hydres.

 

2. Nano-informatique et WBAN (Wireless Body Area Network).

 

2.1 Quelques principes de base de la nano-informatique et de la bio-informatique.

 

2.2 Les réseaux sans fil intracorporels (WBAN).

 

2.3 L’alimentation énergétique d’un réseau WBAN.

 

2.4 L’auto-assemblage des cristaux d’ADN.

 

3. La transhumanisation forcée des populations par l’inoculation de nanoréseaux complexes.

 

3.1 : Présentation d’un modèle synthétique du WBAN à partir de l’analyse des sérums de vaccins Covid.

 

3.2 : Communication avec l’extérieur et utilisation du protocole OS TOOK.

 

4. : Prendre le contrôle du cerveau humain, dernier bastion des bioterroristes ?

 

4.1 : Qu’est-ce que la cybernétique ?

 

4.2 : Explication de la neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain.

 

 

Conclusion :

Il ne s’agit nullement d’une vue de l’esprit mais d’un ensemble d’éléments à charge qui ne peuvent plus laisser le lecteur dans le doute. Dans les jours à venir, nous publierons sous forme d’articles quelques extraits sur des thématiques choisies. Cependant la cohérence de ce dossier confirme que la préparation des vaccins a été réalisée en amont de l’épidémie et que l’épidémie de Sars-Cov 2 n’est ni naturelle ni accidentelle.

 

 

 

 

Nous avons évoqué dans nos lignes les travaux non officiels de scientifiques sur le contenu des quatre « vaccins » contre Covid inoculés en Occident. La découverte de nanotechnologies non déclarées nous pousse à comprendre l’utilité de ces dispositifs dans un vaccin. Les éléments identifiés s’apparentent très fortement à l’injection d’un « Wireless Local Area Network » (WBAN) ou nanoréseau intracorporel sans fil dont l’existence est confirmée par des publications scientifiques dans le domaine de la médecine de pointe.

 

 

Nous avions indiqué dans notre article d’hier que nous proposerions des extraits du dossier récemment mis à disposition sur le Courrier des Stratèges. L’extrait du dossier de 53 pages proposé ici permet d’introduire ce qu’est un WBAN dans un langage compréhensible pour tous. Les liens hypertextes permettront aux lecteurs qui le souhaitent d’approfondir la réalité scientifique de ces dispositifs.

 

 

Qu’est-ce qu’un WBAN ?

« Dans leur configuration actuelle et à partir de la littérature scientifique publique, on constate qu’ils (WBAN) font appel aux nanotechnologies et sont généralement conçus pour traiter de la surveillance et de la détection de l’ensemble du système du corps humain. L’objectif principal de ces réseaux est de transmettre des données produites par les nanotechnologies intracorporelles vers un réseau WLAN (Wireless Local Area Network) ou Internet. Les activités internes de l’organisme sont ainsi surveillées comme par exemple les maladies chroniques à partir des capteurs dans le corps de la personne sous surveillance médicale. Il s’agit d’une surveillance biotechnologique constante et de fait particulièrement intrusive.

 

 

Source : Jafari R, EffatParvar M, Computer Science, 2017

 

 

La littérature scientifique sur ces nanoréseaux sans fil abonde et nous nous appuyons seulement sur quelques récentes publications pour présenter ce volet.

 

Si le graphène est le nanomatériau clé pour les réseaux de nanocommunication, d’autres études portent sur la propagation des réseaux sans fil à travers l’air contenu dans les alvéoles pulmonaires, comme l’explique le travail de Akkaş M.A. publié en 2019. Nous nous appuyons ici sur la traduction de Xochipelli qui est l’un des rares sites où l’on trouve les travaux de divers scientifiques sur le contenu des vaccins (dont le Dr Mik Andersen ou le Dr Campra).

 

 

Un outil de surveillance intracorporel

L’idée de développer la nanotechnologie pour mesurer et enregistrer les événements et les changements dans le corps humain s’appuie sur la mécanique quantique (cf. Richard Feynman, There’s Plenty of Room at the Bottom, 1959). L’un des objectifs de ce domaine de connaissances est la création de nanocapteurs capables de fonctionner de manière coordonnée à l’échelle nanométrique, afin de pouvoir transmettre des informations et des données sur l’état de santé des personnes, ou de développer des applications biomédicales complexes. À cette fin, un réseau de nanocommunications pour les nanocapteurs, également connu sous son acronyme WNSN (Wireless Nanosensors Networks ou WBAN, cf. supra), doit être déployé. Selon les chercheurs, un tel réseau a besoin d’antennes de taille nanométrique, fonctionnant avec des antennes compatibles sur les bandes de la gamme Tera Hertz (ondes électromagnétiques), capables de propager le signal efficacement, sans perte. De cette façon, les nanocapteurs sont interconnectés dans le réseau sans fil pour une action coordonnée, transmettant les données à un nœud passerelle, qui pourrait être un téléphone mobile ou toute antenne téléphonique, qui enverrait automatiquement les informations à l’hôpital via Internet.

 

Si l’on accepte l’utilité d’un réseau WBAN pour le traitement de maladies graves et/ou chroniques, cela est réalisé avec le consentement du malade. Ce n’est nullement le cas avec la vaccination Covid où la présence d’un tel dispositif n’a jamais été mentionnée ni dans la composition des sérums vaccinaux ni au moment de l’inoculation des sérums aux citoyens.

 

L’utilité d’un tel dispositif potentiellement inoculé à des milliards d’individus n’est visiblement pas avouable…

 

Dr Laurent Aventin / Le Courrier des Stratèges

 


 

A propos de Laurent Aventin :

 

 

 

Laurent Aventin est de formation santé publique (PhD) avec une spécialité en économie de la santé. Il a occupé des fonctions auprès de différentes organisations dans le milieu des ONG (Médecins Sans Frontières, Partenaires Contre le Sida), celui de le recherche scientifique (IRD) ou encore pour des institutions nationales et internationales (ministère des Affaires étrangères, UNFPA…).

 

Il est actuellement consultant indépendant et s’est spécialisé dans différents domaines comme le renforcement des systèmes de santé, la prise en charge des maladies infectieuses (VIH/sida), la santé de la mère et de l’enfant, le financement de la santé et les partenariats public/privé dans le secteur sanitaire.

 


 

Source :

https://fr.linkedin.com/in/laurent-aventin-40668b175

https://ideas4development.org/auteur/laurent-aventin/

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/05/14/vaccins-covid-quest-ce-quun-wban-ou-nano-reseau-intracorporel-sans-fil/

https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/05/13/nouveau-dossier-vaccins-covid-et-controle-des-populations-via-les-nanoreseaux-injectes/

 

Article :

Dr Laurent Aventin / Le Courrier des Stratèges

 

Référence :

Dossiers disponibles de Laurent Aventin, PhD – Docteur en santé publique :

https://lecourrierdesstrateges.fr/dossiers-disponibles/

 

Photo :

Pour illustration

 

Voir notamment :

Covid-19 : surprises dans les analyses de sang des personnes vaccinées – MAJ

Selon plusieurs études, la présence d’oxyde de graphène et de nanoparticules d’argent est bien présente dans les vaccins. Karen Kingston, ancienne employée de Pfizer alerte sur leur présence dans les vaccins ARNm

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