La vaccination anti-Covid intervient directement dans l’ADN ! [Vidéo] – MAJ

Time : 6 mn 24 / [1/1]

 


 

 

 

De nombreux experts de haut niveau mettent en garde contre le grand danger que représentent les nouveaux vaccins, car ils interfèrent directement avec l’ADN humain et doivent être développés à la hâte. Bill Gates s’attend à 700 000 cas de dommages dus à la vaccination ! Cependant, les médias de masse dissimulent largement ces dangers. Bill Gates veut vacciner l’ensemble de la population mondiale, soit 7 milliards de personnes.

 

Ces vaccins interfèrent directement avec l’ADN humain. Ces vaccins dits à ARN pourraient causer bien plus de dommages déjà prévus par Gates. Cette inquiétude est confirmée par un grand nombre d’experts.

 

Ici, une ligne rouge est définitivement franchie, car la population est confiante, puisque les médias ne font presque jamais de reportages critiques sur les vaccinations. La question clé est donc la suivante : Pourquoi les médias n’informent-ils pas la population en détail sur les risques de la vaccination à ARN ? Cette dissimulation ou cet apaisement irresponsable aurait-il même pu être acheté par les revenus de la publicité pharmaceutique ?

 

 

Une nouvelle forme de vaccination : les vaccins à mARN

Sur les 40 vaccins actuellement en développement, tous ne se basent pas sur ce principe historique de stimulation du système immunitaire par injection d’éléments pathogènes dans votre organisme.

 

Certains en effet sont issus de ce que l’on nomme la thérapie génique.

 

Le site Business Insider a réalisé un article permettant de mieux comprendre le mode d’action de certains vaccins actuellement en développement dans la lutte contre le Covid-19.

 

Pfizer et Moderna, par exemple, semblent en effet lancés dans la course de la mise au point de vaccins dits « à ARN messager ».

 

Je vais essayer de vous expliquer le plus simplement possible comment cela se passe parce qu’il est important de bien comprendre la différence et les risques qui y sont liés.

 

Le vaccin à ARN messager n’injecte pas une version inoffensive du pathogène pour stimuler naturellement votre système immunitaire. Il envoie directement des moyens de défense sous la forme de ce qu’on appelle un ARM messager (ou mARN) dans vos cellules sans que celles-ci ne soient stimulées.

 

L’ARN messager, c’est un dérivé de l’ADN. L’ADN, pour rappel, c’est ce qui fait que nous sommes des humains et pas des otaries, tout simplement parce qu’il permet à nos cellules de fabriquer toutes les protéines de notre corps. Les protéines, ce ne sont pas seulement des aliments pour sportifs, c’est vraiment ce qui nous constitue. Collagène, kératine, anticorps… absolument tout votre corps est constitué de protéines que vos cellules ont gentiment fabriquées selon le schéma de montage qu’est votre ADN.

 

En introduisant un ARN messager, on mise sur le fait que vos cellules vont recevoir un plan de montage supplémentaire et se mettre à fabriquer de nouvelles protéines inédites, qui devraient permettre de lutter contre le Covid-19.

 

En soi, cela constitue donc déjà une modification de notre patrimoine génétique. Vous deviendriez donc, par définition, des organismes génétiquement modifiés. Au moins… en partie.

 

Là où c’est encore plus problématique, c’est que cet ARN messager doit rentrer dans vos cellules, et qu’une version du gène qu’il apporte risque de s’intégrer à votre propre ADN déjà présent. Il peut exister à côté de votre ADN, comme il est normalement supposé le faire, mais il peut aussi s’y intégrer, sous certaines conditions. Cela dit, même sans s’intégrer, votre cellule qui l’héberge va se retrouver à utiliser ses ressources pour concevoir de nouvelles protéines… qu’elle n’est pas supposée produire.

 

L’intégration, quant à elle, est plus problématique. Pas de magie là-dedans, ce procédé existe déjà dans la nature. Il est même très fréquemment rencontré. Il y a une forme d’organisme qui fait cela très bien : ce sont les virus. Les rétrovirus exactement.

 

En effet, il existe plusieurs formes de virus, et sachez que parmi ceux-là, on trouve des virus… à ARN messager. Le VIH par exemple est un virus à ARN messager. Le coronavirus aussi d’ailleurs. Je vous passe les classifications, bien entendu.

 

Cependant, le principe du vaccin à ARN messager repose essentiellement sur la science des virus, et tout se passe comme si, en effet, le vaccin agissait comme tel.

 

Il est enveloppé d’une bicouche lipidique comme un virus. Il peut donc rentrer dans les cellules comme un virus. Il délivre alors son ARN messager et quelques outils pour lui permettre de coder de nouvelles protéines comme un virus. La seule différence avec un virus, c’est que le plan de montage que constitue l’ARN messager est supposé vous protéger, et non vous nuire.

 

Pour que l’information génétique portée par l’ARN messager d’un rétrovirus puisse s’intégrer à votre ADN, il a besoin d’une étape cruciale : il doit couper votre ADN pour venir y fixer une copie.

 

Comme vous le savez sûrement déjà, l’ADN est une séquence d’acides aminés reliés entre eux. Chaque chaîne d’ADN ainsi reliée constitue ce que l’on appelle un chromosome.

 

Tout se passe comme si vous aviez un ruban bleu, et que vous souhaitiez y incorporer une partie jaune. Vous prenez vos ciseaux, vous coupez la bande bleue, et vous scotchez les deux bords bleus à votre segment jaune que vous rafistolez avec du scotch.

 

Vous avez l’image ? C’est exactement ce que doit faire l’ARN messager (pour simplifier). Il va falloir couper votre ADN pour y intégrer une copie de la séquence. Si vous êtes vaccinés et que vos cellules vaccinées rencontrent un rétrovirus quelconque qui a pour habitude de mêler ses gènes aux vôtres, le gène porté par l’ARN messager issu du vaccin risque de se retrouver lui aussi dans la boucle du cycle viral du rétrovirus et s’intégrer dans votre ADN.

 

Pour résumer : si vous êtes vacciné et que survient une co-infection par un rétrovirus, le risque théorique est une intégration du gène porté par l’ARN messager du vaccin… dans votre propre ADN.

 

La grande question, et pourquoi je vous parle de tout ça, c’est : où va-t-il couper ?

 

Parce que c’est là un des problèmes de cette technologie.

 

En théorie, la coupure se fait selon une séquence bien précise spécifiquement connue par des protéines.

 

En pratique, comme nous avons tous des séquences génétiques similaires, mais différentes, puisque nous portons tous des versions différentes des mêmes gènes, il peut arriver que cette séquence de coupure se trouve, dépendant des individus… pile-poil dans un gène codant pour une protéine indispensable au fonctionnement de votre organisme, rendant ce gène totalement inutilisable pour la cellule.

 

Et là, les problèmes arrivent.

 

Sachez que ceci est théoriquement rare. Les scientifiques semblent en effet considérer que la proportion non codante de notre ADN représenterait 80 à 98% de notre ADN total. Je vous ai perdu ? Je vous explique : 80 à 98% de notre ADN… ne servirait à rien. Ou en tout cas, on ne sait pas à quoi il sert.

 

Toutes les protéines dont je vous parle depuis le début… ne seraient produites qu’à partir de 1% de l’ADN présent dans nos chromosomes.

 

Ça, c’est la bonne nouvelle, car cela veut dire que le virus ou l’ARN messager aurait entre 80 et 98% de chance de se fixer dans une partie inutile de votre ADN.

 

Encore que… rien n’est moins sûr. Aucune étude aujourd’hui n’a pu établir si un virus se fixe préférentiellement dans l’ADN codant ou non, et de nombreux débats animent la communauté scientifique depuis des dizaines d’années sur l’utilité de l’ADN non codant : on ne sait pas s’il ne sert réellement à rien. Certains pensent même que cet ADN non codant aurait des activités biochimiques spécifiques encore mal connues.

 

 

Les dangers de l’intégration dans l’ADN de l’ARN messager

Les conséquences d’une intégration ratée du gène issu de l’ARN messager dans votre ADN peuvent être dramatiques, et c’est là le principal danger de cette forme de vaccination.

 

En effet, un gène invalidé par une intégration en son sein peut tout à fait gêner la synthèse de protéines essentielles au bon fonctionnement de l’organisme. Pire, il pourrait toucher un gène dont l’altération provoquerait un comportement cellulaire cancéreux. Vous développeriez alors une tumeur. On estime en effet aujourd’hui qu’un cancer sur six serait dû à un virus. Et la principale raison est justement que ces virus viendraient perturber le fonctionnement génétique de nos cellules.

 

Un autre risque, et non des moindres est le suivant, notre système immunitaire. Lors de leur synthèse, les anticorps de notre organisme apprennent à reconnaître ce que l’on appelle le soi et le non-soi. Cela veut tout simplement dire qu’ils apprennent à reconnaître nos propres cellules… pour ne pas les attaquer. Pour les reconnaître, les anticorps analysent ce qu’on appelle des marqueurs du soi que toutes nos cellules possèdent.

 

Or l’intégration d’un virus au sein de notre ADN peut aussi perturber ces marqueurs. Les cellules de notre corps qui auraient intégré l’ARN messager risqueraient alors de ne plus être reconnues par nos anticorps comme étant des cellules du soi, et donc pourraient se faire attaquer dans une logique simple de défense immunitaire.

 

On appelle ce principe, une réaction auto-immune. Vous avez sûrement entendu parler de cela. Une maladie dite auto-immune est une pathologie dont les cellules de notre système immunitaire se mettent à attaquer nos propres cellules qu’elles prennent pour des cellules étrangères.

 

Dans le cas du Covid-19 : c’est encore plus simple. En effet, l’ARN messager est supposé coder pour des protéines… du Covid-19. Donc ça veut dire que vos propres cellules vont se mettre à coder des protéines étrangères.

 

Dans de récentes études, les réactions auto-immunes suite à une vaccination par mARN sont encore trop fréquentes pour permettre une généralisation de son utilisation.

 

Voici ce que dit une étude publiée le 22 février 2019 dans le Journal of Transnational Medicine :

« Despite the above described adaptations to the IVT mRNA, the emergence of ADA (anti-drug antibody) responses and transient cytokines is still detectable and therefore hampering the clinical applicability of mRNA-drugs, especially when the mRNA has to be administered multiple times. »

 

Si je vous le traduis, cela donne :

 

« Malgré les améliorations décrites au préalable de l’ARN messager synthétisé In Vitro, l’apparition de réponses immunitaires par développement d’anticorps contre le traitement et de cytokine transitoire (protéines impliquées dans les réponses immunitaires auto-immunes et parfois les cancers, N.d.T) est toujours détectable et donc constitue un obstacle à l’application clinique de ces traitements à ARN messager, surtout quand l’ARN messager doit-être administré plusieurs fois. »

 

Pour vous le faire simple : l’étude démontre que le corps développe des anticorps contre le vaccin, le rendant potentiellement inutile, et provoque des réactions auto-immunes (dont une des conséquences peut être le développement de tumeurs). Bref, l’étude de 2019 (autant dire hier soir), nous explique que ces vaccins ne sont pas prêts tant qu’ils n’auront pas réglé ces problèmes.

 

 

La folie transhumaniste

Le développement de ce qui s’appelle la thérapie génique et dont font partie ces vaccins à mARN est en plein essor dans la plupart des industries pharmaceutiques et ceci pour raison très simple : le développement est extrêmement rentable.

 

Il est en effet extrêmement simple de générer des chaînes d’ARN, et la recherche se réduit à son plus simple aspect : balancer le gène qui va bien.

 

Un des points forts de ces thérapies, économiquement parlant, c’est qu’il est reproductible à l’infini. Une nouvelle pathologie ? On envoie un gène. Et pas seulement pour les pandémies virales : tous les traitements pourraient se voir gérés par un simple ajout génétique dans votre ADN. Sur le papier, cela semble prometteur. La réalité, c’est que plus vous injectez des gènes, plus vous modifiez votre code génétique. Vous êtes donc de moins en moins vous-même, et de plus en plus ce qu’on vous a injecté. Nous n’avons aucun recul sur cette pratique : les gènes une fois intégrés ne peuvent plus être supprimés. Vous conservez donc à vie un génôme modifié pour peu que vous contractiez une infection par un rétrovirus quelconque alors que vous êtes vacciné, ce qui est d’autant plus vrai si vous avez ciblé les cellules souches de vos différents organes (ce sont les cellules qui remplacent les cellules qui meurent naturellement en se multipliant). Si vous ajoutez de plus en plus de gènes, il est impossible de connaître les conséquences à long terme, et les interactions entre eux.

 

Et encore, je ne vous ai pas parlé des vaccins dits à plasmide ADNles risques d’intégration y sont encore plus élevés.

 

Peut-on se satisfaire de l’influence de certains grands milliardaires tels que Bill Gates pour mettre en jeu ainsi le futur de l’humanité ?

 

Mais surtout, sommes-nous prêts ?

 

Car au-delà de ces aspects de santé et de marché, avons-nous réfléchi au sujet ? Souhaitons-nous aller vers une telle transhumance de notre espèce ? Souhaitons-nous forcer notre évolution ?

 

Pour être honnête, il n’est pas très surprenant de voir un informaticien tel que Bill Gates se lancer dans une telle aventure. Cela correspond tout à fait à la culture Geek, bercée à base de « Ghost In The Shell » et autres délires futuro-transcendantaux immatures.

 

Arrêtons-nous deux secondes sur le cas Bill Gates, qui œuvre de toutes ses forces au développement du vaccin. Je vous invite très fortement à aller écouter ses discours sur les sites de sa fondation. Il me semble que la prudence devrait tous nous animer à ce moment précis. Nous sommes en effet en face d’un homme, informaticien donc, n’ayant de fait aucune formation scientifique, qui porte le message d’une urgence vaccinale, massive, rapide et depuis peu, en plusieurs piqûres de rappel.

 

Où est le principe de précaution ? Où sont les prises en compte des alertes scientifiques sur les dangers de tels vaccins et dont nous avons parlé ci-dessus ? Personnellement, je suis très inquiet des discours et des motivations de cet homme. Faites-vous votre propre opinion. Moi il me fait peur.

 

L’épidémie de Covid-19 ne doit pas nous faire perdre notre bon sens. Il n’est certainement pas question de laisser de grands illuminés profiter de l’occasion pour décider d’une telle modification majeure de notre humanité, surtout si les motivations sont avant tout économiques.

 

J’en appelle à la prudence de chacun, et à se poser les bonnes questions avant que l’aiguille ne pénètre nos corps :

 

– Pourquoi l’Union Européenne a-t-elle permis aux fabricants de vaccin le 10 juillet dernier de se passer d’études environnementales et sanitaires préalables ?

 

– Pourquoi certaines règles sur les effets cliniques chez les humains ont aussi été simplifiées, voire supprimées ?

 

 

S’il y a urgence à prendre en soin la pandémie de Covid-19, il n’y en a aucune pour accélérer la modification génétique de l’espèce humaine.

 

Doit-on faire confiance à un informaticien pour des questions de science ?

 

Doit-on oublier les alertes des scientifiques sur ce mode de vaccination au nom de la rentabilité ?

 

La lutte contre les fake news et le conspirationnisme ne doit pas nous interdire de critiquer ce qui ressemble au plus grand coup d’État scientifico-économique de toute l’histoire de l’humanité.

 

Et je pèse mes mots.

 


 

Source :

https://www.kla.tv/

https://blogs.mediapart.fr/franck-noir/blog/300720/covid19-les-vaccins-marn-seraient-inefficaces-et-potentiellement-dangereux

 

Vaccinations obligatoires 

https://www.youtube.com/watch?v=LoWXXjTdiEI

https://www.tagesschau.de/inland/geld-corona-impfstoff-101.html

https://www.bundesfinanzministerium.de/Content/DE/Standardartikel/Themen/Schlaglichter/Konjunkturpaket/2020-06-03-eckpunktepapier.pdf?__blob=publicationFile&v=9

 

Bill Gates s’attend à 700 000 victimes dues à la vaccination contre le coronavirus https://kenfm.de/bill-gates-prognostiziert-700000-opfer-durch-corona-impfung/

https://d33wjekvz3zs1a.cloudfront.net/wp-content/uploads/2020/05/Gates-700000-Dead.mp4?_=1

 

Cas de dommages liés à la vaccination lors de la grippe porcine 

https://www.youtube.com/watch?v=1–c2SBYlMY

https://www.aerztezeitung.de/Medizin/Schlafkrankheit-nach-Impfung-Lebenslange-Rente-231107.html

https://www.spiegel.de/gesundheit/diagnose/schweinegrippe-impfstoff-pandemrix-risiken-wurden-ignoriert-a-1229144.html

https://www.spiegel.de/gesundheit/diagnose/schweinegrippe-impfung-schweden-entschaedigt-narkolepsie-patienten-a-1092175.html

 

Dr. Wolfgang Wodarg 

https://www.wodarg.com/impfen/

https://de.wikipedia.org/wiki/Wolfgang_Wodarg

https://www.youtube.com/watch?v=1YFR13uRolE

 

Professor Hockerts 

https://vimeo.com/437116241

https://de.wikipedia.org/wiki/Stefan_Hockertz

 

Loi sur le génie génétique 

https://www.gesetze-im-internet.de/gentg/BJNR110800990.html

 

Responsabilité lors de dommages liés à la vaccination 

https://www.gesetze-im-internet.de/ifsg/__60.html

https://de.wikipedia.org/wiki/Impfschaden#Haftung

 

Pour aller plus loin 

https://twitter.com/DocteurGonzo4/status/1288371365674987520?s=20

 

Et pour creuser davantage

https://www.gatesfoundation.org/

https://fr.wikipedia.org/wiki/ADN_non_codant

https://translational-medicine.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12967-019-1804-8

https://www.businessinsider.fr/voici-comment-fonctionnera-le-vaccin-contre-le-coronavirus-de-moderna-qui-vient-dentamer-sa-phase-finale-185080

 

Article :

Franck Noir / Médiapart

 

Note :

EDIT 1 : J’ai fait un raccourci à propos de l’intégration pour simplifier, je précise ici.

 

En réalité, l’intégration suppose la présence de deux protéines : la Transcriptase Inverse qui code un brin d’ADN à partir de l’ARN, et l’Intégrase, qui coupe l’ADN de la cellule hôte et ajoute le brin d’ADN issue de la réplication de l’ARN. Ces deux protéines supposent d’avoir été apportées et/ou synthétisées par un virus de la famille des rétrovirus, dont c’est le mode de fonctionnement. Elles ne sont pas présentes dans les vaccins à ma connaissance, ni dans une cellule saine. Mais, l’épidémiologie des rétrovirus est très difficile à évaluer. Le VIH par exemple est un rétrovirus, et la famille est vaste. Les rétrovirus sont si répandus, aussi sous la forme d’infections asymptomatiques, qu’on les soupçonne d’ailleurs d’être à l’origine d’une partie non négligeable de notre ADN non codant.

 

J’ai voulu vous épargner ces étapes, qui ne sont pas rares, pour simplifier la démonstration, peut-être un peu vite.

 

Cependant, il suffit de comprendre qu’un individu vacciné, s’il contracte un rétrovirus, voit ses probabilités d’intégration augmenter drastiquement. Comme une bombe à retardement.

 

EDIT 2 : J’ai modifié une partie du corps du texte pour rendre le sujet plus correct scientifiquement. La vulgarisation est un art compliqué que je ne maîtrise pas forcément facilement. Mais je suis ouvert à tous ceux qui veulent m’aider à améliorer.

 

EDIT 3 : Idem que l’EDIT 2, avec clarifications de termes et accentuation de la notion de co-infection par un rétrovirus.

 

Vidéo : 

[1] Appel urgent à la vigilance – La vaccination anti-coronavirus intervient dans l’ADN ! – KLA.Tv

 

Photo :

Pour illustration

11 commentaires

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.